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MessageSujet: Code pour les postes de Willy    Code pour les postes de Willy  Icon_minitimeVen 27 Juil - 12:24

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MCGREGOR & KEYNES
❝ I love this place, but it's haunted, without you. My tired heart is beating so slow, our heart sing less than we wanted. We wanted ❞ SEYFRIED © TASHAA


    Il n’avait jamais aimé les séances avec McGregor. Oh non. Ce n’était pas à cause de McGregor lui-même, plutôt à cause de tout ce qu’il représentait. McGregor était le symbole de la compréhension humaine, de la recherche de vérité. Il était celui qui pouvait cerner William, celui qui pourrait feindre de le comprendre, celui qui aurait alors les armes pour le battre avec férocité. Et William n’aimait pas vraiment se battre. Quoiqu’il devait bien admettre qu’avec ce séjour en prison, il avait un peu changé de point de vue sur les bagarres. Les prisonniers entre eux n’étaient pas tendres et l’héritier Keynes avait souvent été entraîné, malgré lui, dans une baston de prison. Autant dire que c’était tout à fait différent que ces petites chamailleries de rue. Lui qui n’avait jamais été très bon en lutte avait été fier d’avoir des réflexes humains pour le moins étonnant. Des coups, il en avait donné quelques uns pour se défendre. Il avait même cassé le nez d’un certain Joshua sans vraiment le vouloir – il faut noter qu’il visait la joue dudit Joshua mais que ce dernier a eu la brillante idée de tourner la tête. William n’est en point responsable de ce léger accident qui avait valut au Joshua une belle aubergine violette au milieu de la figure pendant trois bonnes semaines. Mais William avait sut se lier avec les brutes de la prison. Son charisme naturel l’avait très probablement aidé sur ce coup-là, mais il avait réussit à se faire sa petite escorte. Au fond, la prison lui avait parut étonnamment semblable à son hôtel. Nul doute n’était que dans les deux cas, il était l’homme avec le plus de classe. Mais tout ceci n’avait rien avoir avec McGregor. Si ce dernier avait choisit une autre voie pour sa carrière, William ne se serait sans doute jamais montré aussi sarcastique et joueur avec lui – quoiqu’il ne pouvait pas s’en empêcher, c’était plus fort que lui. C’était du gâchis, quand même. Le Gallois aimait croire qu’il savait faire la différence entre le bien et le mal et qu’il avait un don naturel pour trier les personnes grâce à son instinct. Mais Alistair lui avait posé problème ; ses airs d’adolescents l’avaient quelque peu attendri mais son métier l’avait alors très vite freiné. Lorsqu’Alistair s’était présenté comme étant l’homme à qui il allait devoir raconter sa vie pour le moins ordinaire, le prisonnier n’avait pas sut comment réagir. Rire devant cette blague incroyable, ou bien feindre l’ignorance ? Il avait opté pour la seconde option et de là étaient partis les mensonges. Et les sous-entendus salaces qui faisaient de lui l’homme qu’il était.

    Cette séance-là n’allait pas échapper à la règle. Après tout, c’était peut-être la dernière fois qu’ils se voyaient cela ne faisait pas de cette séance une séance miracle. Bien au contraire. Le jeune Gallois n’avait qu’une hâte ; d’en finir au plus vite et de déguerpir pour retrouver son hôtel. Son chez-lui. Et pour appeler Alban, aussi. Avec son arrestation, l’avocat de renom avait du reprendre un peu les rennes du traineau de son bureau à Oxford. L’hôtel, lui, avait été pris en main Mia – et William lui faisait suffisamment confiance pour être serein quant à l’état dans lequel il retrouverait sa petite perle. Le jeune trentenaire leva les yeux vers Alistair alors qu’il commentait son style vestimentaire, une fois de plus. Un fin sourire naquit sur ses lèvres devant la réaction du psychologue. Ha, ce qu’il pouvait aimer jouer sur les mots avec une telle adresse. Puis il arqua un sourcil ; les nœuds papillons ? Cool ? Oh non. Les filles, c’étaient cool. Son hôtel, c’était cool. Lui, il était cool. Le sexe c’était méga-cool. Mais les nœuds papillons ? C’était quoi ? L’ancienne version des cravates mais en mode je t’étrangle encore plus ? En plus, ça ne ressemblait à rien. Non pas que les cravates étaient un chef d’œuvre artistique mais… Ca avait déjà plus d’allure que les nœuds papillons. Et ça rendait les filles folles… Autre avantage avec les cravates, c’est que c’était terriblement excitant lorsque c’était une fille qui en portait une. Ca leur donnait un certain style, et William admettait volontiers que ça le faisait craquer. Hm. Une idée pour un prochain spectacle, il fallait qu’il la conserve précieusement. Cependant, là, tout de suite, Alistair était un peu… Désespérant. Mais alors vraiment juste un peu. William, une lueur taquine au fond de ses yeux couleur outre-mer et son habituel air narquois sur le visage ne put retenir la petite pique qui ne demandait qu’à être balancée à la figure du psychologue.
    « Cool ? Nous ne devons vraiment pas avoir la même définition du mot cool, Alistair. La télé, c’est cool. Le scotch, c’est cool. L’argent c’est cool. Le sexe, c’est grandiose. Les nœuds pap’, c’est tout sauf cool. »
    Il avait volontairement préféré éviter le débat sur les ceintures et les bretelles. Un débat était largement suffisant pour ce début de séance, il n’avait pas besoin de se compliquer la tâche en en faisant trop. Son sourire ne l’avait pas quitté et, même, il s’élargit lorsqu’Alistair posa ses bras sur la table qui les séparait. Le futur ex-taulard se demanda alors à quoi pouvait bien penser le psychologue. Il ne décelait rien dans son regard qui pourrait lui donner un indice et il ne connaissait pas assez son interlocuteur pour jouer les médiums. Tout ce qu’il pouvait faire c’était laisser son imagination trouver des scénarios divers et variés. Peut-être même tirés par les cheveux. Peut-être qu’il l’imaginait en fille ? C’était un loisir auquel William se prêtait volontiers ; surtout à l’époque de l’adolescence. Il s’était souvent amusé à imaginer quelle apparence aurait son interlocuteur s’il avait été du sexe opposé. Pour Alistair, le choix était assez restreint grâce à son code vestimentaire unique en son genre. Une fille aux cheveux courts – pourquoi courts ? Il n’en savait trop rien à vrai dire – avec un style rétro. Le genre de fille qui se chausse avec des docmartens, un short en jean déchiré et un tee-shirt trop grand pour elle. Quoique cela ne correspondait pas réellement au caractère de McGregor. Dommage, William l’aurait trouvé plus que séduisante dans cet accoutrement sordide. Non. Alistair avait quand même un peu plus de classe. Enfin… Dans son genre. Il savait se faire repérer grâce à ce qui le rendait si unique et c’était sûrement ce qui plaisait le plus au Gallois. Bien que lui ait un style vestimentaire tout ce qu’il y avait de plus simple, il n’avait jamais put supporter l’idée que l’attention ne soit pas fixée sur lui. Il aimait être le centre d’attention des regards et il savait comment faire pour que ce fût le cas. Il pouvait passer inaperçu mais cela n’empêcherait les regards de le suivre de loin. Alistair lui, c’était différent. Il attirait la curiosité dès le premier coup d’œil. Après, on aime ou on n’aime pas. William lui… C’était un avis assez mitigé, en réalité. D’un côté, il n’aimait pas ; ce style rétro était loin d’être son genre et il ne se voyait pas revêtir de tels vêtements sauf s’il avait envie de jouer les vieux garçons. Mais d’un autre côté… Il ne pouvait pas nier que ça avait son petit effet. Comme il l’avait dit un peu plus tôt, c’était ce style vestimentaire qui rendait Alistair séduisant – bien que sa gueule d’adolescent effaré pouvait aussi jouer un peu.

    Le silence qui régnait dans la pièce depuis leur court échange commençait à devenir pesant pour William. Hé, quoi ? Alistair le connaissait depuis le temps, non ? Il devrait pourtant être habitué à être chambré de la sorte par le proxénète. Alors pourquoi se taisait-il de cette façon ? William n’était pas vraiment un adepte du silence. Enfin, tout dépendait des circonstances. Il est vrai qu’adolescent, après que ses parents l’aient forcé à voir un psychologue, il s’était tellement renfermé sur lui-même que le silence était devenu son meilleur ami. Mais là, c’était différent. Non pas qu’il ait beaucoup mûrit entre temps – après tout, ses filles ne disaient-elles pas de lui qu’il était resté cet éternel enfant ? – mais ce n’était pas vraiment pareil. Peut-être parce que le mec qui lui faisait face n’était pas un homme pincé et coincé qui n’osait pas beaucoup de sa chaise ? Quoi ? Ce serait le silence de McGregor qui le dérangerait ? William l’observa quelques secondes. Non, il déraillait. Ce n’était pas ça qui le dérangeait le plus dans ce silence lourd. Alors quoi ? L’héritier Keynes prit le temps de réfléchir, le regard perdu dans le vague avant de finalement se redresser. Il décroisa ses jambes, plaqua ses avant-bras sur la table froide, se penchant légèrement en avant. Son regard d’un bleu profond alla chercher celui du psychologue. Bon, puisque celui-ci ne voulait pas faire d’effort, William allait devoir faire quelques sacrifices. Alors il ouvrit la bouche et parla. Un sujet vaseux pour commencer. Une petite pique à la fois implicite et explicite qui caractérisait William. Juste pour le plaisir de voir Alistair réagir comme une adolescente. La réponse fut longue à venir. Assez longue pour que le jeune homme pousse un soupire las, mais trop rapide pour qu’il ait le temps d’en rajouter une couche. Ses lèvres alors ouvertes, prêtes à lancer une nouvelle boutade, se transformèrent en un nouveau sourire. Bon, la réponse manquait de tact et de conviction, mais le jeune homme s’en contenterait. Un air victorieux déforma ses traits l’espace de quelques secondes. Le temps pour lui de voir le sourire moqueur d’Alistair. Ah oui ? Il voulait se la jouer comme ça ? Très bien.

    Une fois de plus, ce fut lui qui changea le sujet de la conversation – ou plutôt, du semblant de dialogue instauré entre eux. Il préférait parler de couleurs plutôt que de continuer à torturer ce pauvre Alistair. Ou plutôt… Il lui accordait quelques minutes de répits. Il savait qu’il pouvait parfois se montrer assez lourd avec ses incessants sous-entendus et avait récemment décidé de les ponctuer. Ainsi, il pouvait toujours s’amuser sans pour autant fatiguer ses interlocuteurs. C’était du moins ce qu’il aimait penser. Il ne doutait pas un seul instant que ponctuer ou non, son caractère finissait par être lassant. Mais il n’arrivait pas à retenir ce qui lui brûlait les lèvres. C’était dans son caractère, il n’y pouvait rien. Personne n’avait réussit à le changer jusqu’à ce jour, ce n’était pas aujourd’hui que ça allait commencer. Et puis… Lui il aimait sa petite personne telle qu’elle était. Arrogant, certes, mais c’était ce qu’il était. Alistair eut une réaction qui tira William a ses pensées. Le psychologue avait, en effet, haussé un sourcil et penché la tête, amusant le taulard mais attisant aussi sa curiosité. Il sembla réfléchir à la question posée, cherchant sans doute le sens profond d’une telle question sans savoir qu’il n’y en avait pas vraiment, avant de répondre par la négative. Ce fut au tour de William de se plonger dans ses méditations pour essayer de comprendre où en venait son interlocuteur. Puis il passa à autre chose lorsqu’Alistair l’interrogea à son tour. L’espace d’un instant, William hésita à lui sortir une excuse toute faite ou lui dire la vérité. Bon, c’était leur ultime séance, il pouvait bien lui faire une fleur, non ?
    « Au risque de vous décevoir mon cher, il s’avère que le orange était la seule couleur que j’ai vu ces derniers temps… Vous savez, à cause de l’uniforme de la prison. Et tout à l’heure, alors que je me débarrassais enfin de cette vieille combinaison – je ne vous conseille jamais de l’essayer, c’est particulièrement inconfortable et ça ne mettrait pas votre teint en valeur – j’ai noté que j’ai porté cette couleur pendant deux mois alors que je déteste tout particulièrement le orange… »
    Il avait levé la tête, pensif, et caressait la barbe de trois jours qui recouvrait son menton. Un rasage intensif s’imposait dès qu’il aurait mis les pieds dans son hôtel. Il appréhendait la question qui allait suivre et se tenait prêt à répondre. Alistair dans toute sa naïveté et son espoir commun aux psy’ noterait sans doute les mots employés par le taulard et approfondirait le sujet. Soit.
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MessageSujet: Re: Code pour les postes de Willy    Code pour les postes de Willy  Icon_minitimeMer 1 Aoû - 11:31

Fiche de lien :

Mettre une créa avec plusieurs petites pic de Willy
Ensuite faire un tableau... Ou I don't know ~ Peut-être un gros bloc (histoire), et en dessous, deux colonnes. Une pour les RP, l'autre pour les recherches.

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Alicja L. Zeleski

featuring Emily 'Emma' Stone


[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]« Had to be me. Someone else might have gotten it wrong. . »
FEAT: Emma Stone;

SEXE: Féminin Masculin
NOM: Zeleski
PRENOM(S): Alicja, Liadan, Airikah, Morrigan
ÂGE: 29 ans
DATE: 23.12.1983
LIEU: Łódź (Łódź) ; Pologne
NATIONALITE(S): Polonaise et Américaine d'origine Irlandaise et Norvégienne
STATUT CIVIL: Célibataire
EMPLOI: Agent fédéral au Bureau Fédéral d'Investigation, bureau de Washington DC
SANG: B négatif



tell me ur story •
« Alicja ? La fille de Wilma et Hassan ? Oui, je me souviens d’elle. Ils habitaient au bout du quartier. Oh, c’était une belle histoire que la sienne. Je connaissais ses parents depuis quelques années ; je les avais rencontrés lors d’une soirée mondaine et j’avais su gagner leur sympathie. Des gens charmants si vous voulez mon avis, mais ils étaient connus pour être des marginaux. Je ne sais plus trop de quel milieu Wilma était originaire, mais il me semble qu’elle était polonaise de naissance. Mais sans doute pas l’héritière d’une longue lignée. Lui, par contre, était un artiste bohème. En réalité, on aurait presque pu croire qu’il sortait tout droit d’un roman d’Emile Zola. Cela ne faisait aucun doute qu’il était très doué ; il peignait d’ailleurs admirablement bien mais il n’avait pas connu le succès espéré en Norvège… Alors il a migré en Pologne. Les premières années, il s’est de nouveau heurté à un mur lorsqu’il voulait exposer ses tableaux… Je lui ai souvent proposé de lui en acheter quelques uns, mais il refusait catégoriquement à chaque fois. De toute façon, Wilma et son petit travail de caissière semblait subvenir à leurs besoins. Et puis il y a eu cette grossesse. Je ne sais pas si elle était désirée – mais je ne pense pas. Hassan a alors monté une entreprise d’import-export qui a étonnamment bien fonctionné. Maintenant que j’y repense, je crois me souvenir que sa famille avait plusieurs entreprises en Norvège, déjà. Cette réussite professionnelle leur a permis de vivre dans de meilleures conditions et d’élever leur fille. Elle est née en décembre il me semble. Un jour où il a sacrément neigé, d’ailleurs ! Ils formaient une parfaite petite famille. Alicja avait déjà un sacré caractère. Elle courrait toujours de partout depuis qu’elle savait se tenir sur ses jambes. Une vraie petite pile électrique ! Mais qu’est-ce qu’elle était mignonne, un ange. (…) Et puis un jour on les a moins vus. Ni Hassan, ni Wilma. Je crois qu’elle était malade – je n’ai appris que bien plus tard qu’elle était atteinte de la maladie de Creutzfeldt-Jakob – et cela les a anéanti. Hassan a demandé le divorce, ne supportant pas de voir son épouse dans un tel état et a fait placer Wilma dans un centre où on s’occuperait bien d’elle. Un an plus tard, Alicja et son père déménageaient je-ne-sais-où… C’est plutôt triste non ? Mais je trouve cela tellement beau… »
─ AGNIESZKA JEDRYCH, ancienne voisine des Zeleski (retraîtée).

« Zeleski ? C’était pas le genre de fille avec qui j’aimais traîner. A vrai dire, personne n’aimerait traîner avec elle, à part c’timbré d’O’Callaghan. Elle était vraiment… Space comme fille. Mais pas vraiment dans le bon sens. Y a des spaces cool… Et y a les autres. Bah elle, elle faisait plus partie de la deuxième catégorie. D’jà, elle avait c’t’accent étrange d’Europe. Je crois qu’elle a débarqué au Canada quand elle avait quatre ans, par-là. On était dans la même école. Elle était toujours toute seule, dans son coin, à jouer avec ses poupées. Et puis O’Callaghan est allé la voir et ils ne se sont plus lâchés d’une semelle après ça. Mais vraiment plus, hein ! Alors au départ, on s’en foutait, on était tous un peu des gosses, vous comprenez. Puis quand on a eu vers douze ans, ça semblait vraiment bizarre. Ils étaient toujours fourré l’un avec l’autre. Y en a qui disaient qu’ils étaient demi-frère et sœur, d’autres qu’ils avaient fait des choses ensembles. Perso, je ne sais plus vraiment ce que je pensais… Sans doute qu’ils étaient deux attardés. Enfin bref. Y avait pas mal de rumeurs sur Zeleski. Faut dire qu’elle savait faire parler d’elle, hein. (…) Il paraîtrait même que sa mère était folle à liée et que son père l’a fait enfermé. Pour ça qu’ils ont débarqué ici. Zeleski fille a eu un problème, je crois que les médecins appellent ça un déficit des hormones de croissance, un truc du genre quoi. En gros, elle est très petite. Ca n’a pas toujours été facile en cours à cause de ça. Enfin, vous connaissez l’intelligence des adolescents, j’suppose, non ? (…) Y avait une fille, Elena Di Meglia qui vivait pas loin de chez Zeleski. Elle nous racontait que son père faisait la tournée des bars tous les soirs et qu’il battait sa fille. Zeleski niait tout. Moi je crois que c’était pour attirer l’attention qu’elle faisait croire que rien n’était vrai. Tss. Une vraie garce cette fille-là. Un jour, je me suis proposé pour l’accompagné au bal de promo. Elle m’a balancé son poing dans la figure et le soir-même, O’Callaghan me menaçait. J’vous dis, y avait un truc louche entre les deux… »
─ JEFFREY HENDERSEN, ancien camarade de classe d’Alicja Zeleski (étudiant en médecine).

« Hm. Ce dossier remonte à plusieurs années maintenant, vous savez… Pourquoi tenez-vous tant à le voir ? Ha ! Le voilà, le petit malin s’était glissé entre le X et le Y. Encore un bleu qui a dû se tromper. Ah, je vous jure ! Ces nouveaux ne sont plus ce qu’ils étaient avant. Enfin… Ca date de deux mille un. Quelques jours après les tours jumelles, d’ailleurs. C’est sûrement pour ça que l’accident est passé inaperçu. Oui parce qu’il était clair, à l’époque – bien que mon opinion à ce sujet n’a guère changé aujourd’hui – qu’il s’agissait d’un accident et de rien d’autre. Les incendies criminels sont rares ici, vous savez. Et personne n’avait de raison apparente de vouloir brûler Hassan Zeleski chez lui… Je me souviendrai toujours de cette affaire. La plus courte de toute ma carrière. En une semaine elle était bouclée, ce qui n’était pas au goût de la fille du défunt. Ali… Ali… Ali quelque chose il me semble qu’elle s’appelle. Nous étions sur place bien avant qu’elle n’arrive. Elle était avec un ami, un certain O’Callawan. Ou O’Sullivan. Enfin, quelque chose dans le genre, quoi. (…) Elle a été anéantie. A peine avait-elle vu le feu qu’elle accusait son ami d’être l’incendiaire. Elle hurlait. On aurait dit une possédée.


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MessageSujet: Re: Code pour les postes de Willy    Code pour les postes de Willy  Icon_minitimeMer 1 Aoû - 13:17

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