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MessageSujet: Code RP   Code RP Icon_minitimeMar 18 Déc - 17:27


ROLLINS & MCGARRETT
❝ Your faith was strong but you needed proof, you saw her bathing on the roof, her beauty and the moonlight overthrew you. She tied you to her kitchen chair, she broke your throne and she cut your hair and from your lips she drew the Hallelujah ❞ JEFF BUCKLEY © TASHAA


    Les poings fermés, la garde haute, Steve plongea alors que le coup de son adversaire allait l’atteindre à l’abdomen. Rapidement, et avec autant de grâce qu’un félin, il se remit sur pieds, prêt à se défendre ou attaquer en cas de besoin. Le regard figé sur son adversaire, l’air concentré, il ne put, néanmoins, retenir ce petit sourire narquois qui lui allait si bien. Il avait l’air détendu, serein, presque sûr de lui alors que dans son esprit, une bataille faisait rage. Il la connaissait, il savait qu’il devait s’attendre à tout. Catherine était dans la NAVY et il ne connaissait que trop bien leur entraînement intensif ; si la belle avait put arriver jusque là, c’est parce qu’elle était douée. Il le savait d’ores et déjà et n’avait pas besoin d’évaluer son niveau. Pourquoi cet entraînement, alors ? Steve n’aurait sut donner de réponses exactes. L’envie, peut-être. Oui, ce devait être ça. L’envie. De juger par lui-même, d’avoir un prétexte tout trouvé pour se retrouver dans une situation qu’il connaissait, pour assurer ce petit côté machiste qui le définissait. Ou tout simplement pour le plaisir de s’entraîner. Danny n’étant pas un homme des plus sportifs, il refusait catégoriquement de se mesurer à Steve, répétant à chaque fois qu’il savait très bien que cet homme primitif serait bien capable de lui briser un os – après tout, ne s’étaient-ils pas rencontré dans de telles circonstances ? Un bras qui avait manqué de se faire déboité et un poing dans la figure ? – ou s’éclipsait avant même que l’ancien NAVY SEAL n’ait le temps d’ouvrir la bouche. Chin, lui, n’était pas de ceux qui avaient besoin d’entraînement. Sans doute parce que lorsqu’il allait sur le terrain, il y avait un ange gardien qui l’empêchait d’avoir à courir dans tous les sens et à jouer au football américain pour arrêter un suspect. Steve allait commencer à croire que son ami était doté d’une bonne étoile et risquerait de finir par le jalouser. Quant à Kono eh bien… Kono s’entraînait déjà suffisamment sur le terrain. Elle était sûrement celle qui prenait le plus exemple sur lui – au damne de Danny semblait-il, d’ailleurs, qui refusait l’idée d’avoir le double de McGarrett au féminin – et il n’avait pas besoin d’une séance particulière pour la voir mettre K.O un adversaire redoutable et doublement plus large qu’elle.

    Il plia le genou sous la pression que venait de lui asséner Catherine. Mais avant que sa rotule ne touche le sol, il posa sa main sur le tapis et, prenant appuie sur celle-ci, il tenta de faire tomber la jeune femme. Il la manqua de peu mais en profita pour se remettre debout, une lueur de défi dans les yeux. Très bien, les choses sérieuses pouvaient commencer. Reprenant sa garde, il para les coups que tentait de lui mettre Catherine, n’hésitant parfois à se montrer offensif. Il ne jouait pas encore sur son physique plus carré et plus musclé que la jeune femme mais savait qu’il ne pourrait bien plus continuer à juste parer. Parfois, lorsqu’il sentait un coup le frôler, il laissa la surprise peindre son visage et ne cachait un regard admiratif envers la jeune femme. Et puis il reprenait le dessus, tentant de la déstabiliser par tous les moyens. Il effaçait les épaules, se baissait, évitait principalement. Il n’y avait aucune brèche, les gestes étaient précis, concentrés. Avec la main gauche, il arrêta le coup de pied qui aurait put lui couper le souffle ; avec sa main libre, il attrapa le poing qui prenait la direction de son visage et, usant cette fois-ci de sa force physique, il rapprocha Catherine de lui. Tant bien que mal, il tenta de la tenir contre lui, un sourire vainqueur sur les lèvres. Il n’était pas de ceux qui crient victoire très vite, mais là, il lui semblait qu’il pouvait facilement marquer un point et profiter de la situation. Ce qu’il ne se gêna pas de faire, d’ailleurs. Profitant du fait qu’il avait l’avantage sur la situation, il fit glisser son regard le long du visage du lieutenant qu’il tenait toujours dans ses bras avant de se pencher un peu en avant.

    « Tu es une vraie tigresse quand tu t’y mets. »
    Ses lèvres se fendirent d’un sourire espiègle. Celui-là même qu’il esquissait lorsqu’il voulait montrer à son interlocuteur qu’il était un petit malin. Il profitait de la situation sans retenue, osant même jouer avec le feu pour frôler ses lèvres d’un baiser tendre et fourbe. Mais alors que leurs lèvres allaient se sceller, il la lâcha et s’éloigna comme si de rien n’était. Il voulait pimenter un peu cet entraînement en y ajoutant une nouvelle règle qu’il préférait ne pas prononcer à vive voix. C’était, de toute façon inutile car il était certain que Catherine avait compris là où il voulait en venir. C’était un avantage majeur ; ils se comprenaient presque tout le temps sans avoir besoin de formuler de vraies phrases. Mary lui avait souvent dit que c’était un signe, en général, et qu’il était sans doute temps pour eux d’affirmer leur relation ; Steve ne répondait jamais et préférait ne pas demander à la jeune femme ce qu’elle en pensait, elle, de leur relation. Elle ne se plaignait pas, ça suffisait à McGarrett. Il comptait sur le franc parler de Rollins pour l’avertir en cas de besoin ; qu’elle ait besoin de respirer – bien que vu qu’ils se voyaient peu, cela lui semblait improbable – ou besoin de plus d’affection. Lorsqu’ils étaient tous deux les deux, Steve se comportait avec Catherine comme un chevalier servant et un conjoint ; il arrivait à oublier son amour pour les femmes pour ne regarder qu’elle et sa beauté pure. Lorsqu’elle était dans ses bras, il ne pensait à aucune autre ; lorsqu’elle partageait ses draps, il ne rêvait d’aucune autre. Il ne se considérait qu’à moitié comme en couple avec elle. Il ne savait pas vraiment comment décrire ce qu’ils vivaient. Ils le vivaient, c’était tout. Ca lui allait et il n’allait pas chercher plus loin.

    Il se remit en garde et fit signe à Catherine qu’il était prêt. C’était quand elle le voulait. Ses pieds nus frottaient le sol lorsqu’il se déplaçait, ses muscles étaient tendus. Les poings serrés, Steve ne put s’empêcher de repenser à cette enquête où il avait cassé le bras d’un boxeur qui avait été leur principal suspect. S’apercevant finalement de leur méprise, l’ancien NAVY n’avait eu d’autres choix que de combattre à la place de l’homme. Certes, il s’en sortait plus bien en combat au corps à corps, mais là, il n’avait eu aucune chance de s’en sortir. Danny avait pourtant bien tenté de l’en dissuader, n’hésitant pas à envoyer Lori et son joli sourire juste avant qu’il n’entre en scène, mais rien n’avait put enlever cette idée. Les McGarrett pouvaient être plus têtus que des mules lorsqu’ils s’y mettaient. Oh, bien sûr, Steve avait réussit à éviter certains coups et à en porter d’autres après que Danno lui ai dit que tous les coups étaient permis. Mais ça ne l’avait pas empêché de finalement se retrouver allongé sur le sol, les côtes endoloris et une grimace sur le visage. Chin et Danny avaient du l’aider à se relever pour qu’il puisse retourner dans ses vestiaires. Une sacrée défaite qui en avait foutu un coup sur son égo. Un peu comme le match de basket dans la prison ; lui qui était pourtant très sportif, ne connaissait rien à ce jeu. Ce n’était sûrement pas assez brutal pour lui (c’était ce qu’avait avancé Danny pour expliquer le fait qu’il se retrouve dans l’incapacité de battre des taulards). Mais dès lors que l’inspecteur Williams l’avait autorisé à faire toutes les fautes qu’il souhaitait, Steve avait retrouvé une fougue. Une fougue qu’il pensait avoir perdu lors de son dernier match de football américain.
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