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- this is meDate d'inscription : 11/02/2011
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MessageSujet: Code liens   Code liens Icon_minitimeMar 26 Juin - 18:29


William M. Keynes

featuring James McAvoy


tell me ur story •
« (…) Hilary m’a parlé aujourd’hui. Oh, ça n’a pas été la longue conversation mais… C’est toujours plus que ce j’aurai pu espérer. Il m’a même proposé de rentrer avec moi, demain, pour parler après l’école. Je suis contente. En plus, maman et papa l’aiment bien. Il vient chercher le pain tous les samedis chez nous et il prend toujours une part du fondant au caramel de maman. Il m’a dit qu’il était plutôt gourmand et qu’il ne savait résister à un bon fondant. (…) Tout à l’heure, il m’a protégée. Bon, c’est peut-être un bien grand mot, mais c’est presque ça. Il y avait une sorte d’énorme mille pattes sur mon bureau à l’école. J’ai crié de surprise – et de peur aussi – en le voyant et tous les autres se sont moqués de moi. Tous… Sauf lui. Il faut dire qu’avec son prénom, les autres se moquent aussi de lui. Ils disent qu’il est une fille parce qu’il s’appelle Hilary. Moi je ne trouve pas. En plus, il est très courageux. Beaucoup plus que toutes les autres poules mouillés de la classe, en tout cas ! »
─ extrait du journal de LYLIANNA BIRMINGHAM, le 11.24.1995

« Ca y est ! C’est le grand jour ! Je ne sais absolument pas comment m’habillée ! Maman m’a dit de ne pas trop paniquer et de ne pas m’inquiéter mais… Oh mon dieu, j’en tremble d’excitation ! Me connaissant, je vais encore faire une bourde ou… Je crois que j’ai peur. Peur d’aller à la soirée de la musique et de me ridiculiser devant Hilary Becker. Toutes les autres filles du quartier sont vertes de jalousie, ça me fait bien rire. Elles se moquaient de lui à cause de son prénom il y a encore deux ans de cela, mais maintenant qu’il a grandit, muer et qu’il me montre de l’intérêt, elles veulent toutes l’avoir. Tss. (…) Ca y est, je suis fin prête. Maquillée, coiffée, habillée. Dans deux minutes, Hilary va arriver. Je suis impatiente. Je ne tiens plus en place. Maman n’arrête pas de me répéter qu’on forme vraiment un couple magnifique. Je crois qu’elle met déjà de l’argent de côté pour notre mariage et prévois déjà des noms pour nos futurs enfants… Ce serait bien… J’aimerai vraiment être mariée avec lui… »
─ extrait du journal de LYLIANNA BIRMINGHAM, le 06.21.2000

─ⱷ─


« Becker est un grand taré. Mais pas dans le bon sens. J’sais pas trop ce qu’il s’est passé, mais son père s’est soudainement mis dans la tête de l’enrôler dans l’armée. Sans doute parce qu’il en a été viré. Il veut sûrement que son fils prenne le relais ; il doit vouloir revivre à travers lui. Conneries moi j’dis. James aime se battre, certes, la preuve c’est qu’il m’a pété le nez parce que je l’ai appelé par son prénom, c’te ordure, mais je le vois pas dans l’armée. Ah ça non. Il est trop… Trop lui pour tuer des gens. (…) Moi je pense que c’est un gros raté, le Becker Junior. Un bon à rien. Ouais j’sais, c’est mon pote, mais ça ne m’empêche pas de penser que sur le front, il ne sera pas utile. C’est pas Captain America, son père a du abuser sur le scotch, une fois de plus. Non mais quand j’imagine James, je n’peux pas m’dire qu’il va tuer des gens. Lui, il est plutôt… Protecteur. Voilà. Il fait que protéger les autres. Alors l’envoyer en Afghanistan ou en Iraq, c’est n’importe quoi. Il ne tiendrait pas bien longtemps, le pauvre naïf. Au fond, j’espère sincèrement qu’il se réveillera avant de suivre bêtement ce que lui dit son pater. Même s’il m’a cassé le nez, j’l’aime bien Becker. Même s’il est un peu re-loud sur les bords (…) »
─ extrait du journal de CRAIG BIRMINGHAM, le 01.13.2004

« Putain mais dans quel merdier Becker s’est-il encore fourré ? Ah ça, je me le demande bien, tiens. Mais c’est pas possible ça. Et moi, j’me suis laissé entraîner. Mais quel idiot ! Mais quel idiot ! (…) J’profite d’une petite escale pour raconter nos mésaventures en tant que militaires. Parce que ouais, c’bouffon de Becker a réussi à m’avoir. Je suis devenu militaire. Read more



Je tiens à établir quelques précisions avant toute chose ; si vous avez une idée précise du lien que vous souhaitez, vous pouvez, bien évidemment, me les proposer, mais sachez que je chercher toujours à voir plus loin qu'un simple amis, ennemis, connaissances. Si vous n'avez pas d'idées, précisez-moi juste si vous préférez un lien positif ou un lien négatif, j'irai lire votre fiche et je verrai si j'ai une idée. En général, j'en trouve une assez rapidement. Sachez que je trouve souvent des idées tordues et complexe qui sont mi-négatif, mi-positif, qui se base, bien souvent, sur une recherche de confiance et de doute.
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MessageSujet: Re: Code liens   Code liens Icon_minitimeMar 26 Juin - 18:46


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Gurls

“ dancing queen, i like when you dance for me

alexie l. johnson
keira knightley

i wish you were mine, sweet baby doll ; « Vous avez besoin d'un job ? J'ai ce qu'il vous faut... » Ce jour-là restera probablement gravé à jamais dans l'esprit de William. Lorsqu'Alexie a débarqué dans son hôtel, elle était jeune, fraîche. Perdue. Il ne lui aura suffit que d'un regard pour qu'il la trouve à son goût, et même plus que cela. Il l'a embauché en tant que serveuse. Plus tard, il lui a parlé de la face caché de son théâtre. Elle a d'abord semblé réticente, mais elle avait vraiment besoin d'argent. Et William étant ce qu'il est, il n'a hésité à la charmer pour qu'elle accepte. Ce qu'elle a fait, bien évidemment. « T'as vu Sunker Punch ? Là, c'est la même chose ; tu prépares ton spectacle, tu peux être seule, ou avec les autres filles. Dès que t'es sur scène, plus rien n'existe à part ton client. Tu ne t'occupes plus que de lui. Lexie ? Je mets une condition ; tu ne couches pas avec les clients. Je les choisirais pour toi, s'ils veulent te toucher ou coucher, je leur envoie quelqu'un d'autre. Est-ce clair ? » Il avait imposé une règle. Une seule. Alexie ne devait être touchée par personne. Personne ne pouvait l'avoir s'il ne l'avait pas. Elle était trop pure pour être souillée par tant d'hommes d'affaires en quête d'une bonne nana. Alexie n'était pas une bonne nana. Elle était le Joyau que William convoitait ; Il aurait voulu l'avoir pour lui tout seul ; il aurait voulu la contrôler. Il aurait voulu qu'il ça marche. Il aurait voulu qu'il y ait un eux. Il l'affublait de toute sorte de surnoms plus enfantin les uns que les autres. Lui réservait son sourire, l'invitait parfois dans son bureau. Il l'invitait à sortir, s'affichait à son bras. Il la protégeait, la chouchoutait. Elle était la Reine de son Royaume. Elle aurait claquer des doigts qu'il aurait fait ce qu'elle désirait. Et puis elle est partie. Il n'avait pas vu le coup venir. Il avait juste sentit la lame s'enfoncer lentement. Il s'est alors senti trahie, mais il la respectait bien trop. Il l'a aidé à fuir la situation dans laquelle il l'avait mise. Il lui a proposé de l'argent. Beaucoup d'argent. Il l'aide financièrement lorsqu'elle le lui demande, l'appelle dès qu'il le peut... Mais depuis qu'on l'a balancé, il se méfie. Alexie fait parti de ses suspects, bien qu'il ne veuille pas l'avouer. Alexie est bien trop nice pour être l'horrible traîtresse, non ?
Chapter 1: [url=]title subject[/url]
alexis buckley
mia wasikowska

oh baby, it's so nice between us, you know it, don't you ? ; « Que fait une créature aussi ravissante dans un lieu aussi sordide ? » William manquait de tact, il l'avait toujours sut, mais jusqu'à présent, cela ne lui avait jamais fait défaut. Bien sûr, tout ceci, c'était avant qu'il ne croise Alexis. Il était assis dans un bar, profitant avec délectation de sa libération nouvelle, lorsqu'il l'avait repéré. Il était toujours en chasse, toujours prêt à sauter sur une nouvelle proie. Prêt à leur tendre une main. Et cette jolie jeune femme n'allait pas être l'exception. C'était ce qu'il avait pensé, sur le coup. Parce que malgré son beau sourire et ses sous-entendus explicites, la jeune Alexis était restée de marbre face à lui. Etrange. Vraiment. Oh, cela ne l'avait pas empêcher d'engager la conversation comme si de rien n'était, tout en laissant quelques allusions salaces vagabonder de temps à autre. Le fait qu'Alexis se refuse à lui le frustrait. C'était la première fois que cela lui arrivait, et William devait l'admettre ; ça ne lui plaisait pas vraiment. Mais il a finit par s'attacher à la petite Alexis, dans une certaine mesure, bien entendu. Il l'invite lorsque l'envie lui prend et elle vient le voir lorsqu'elle a besoin de ses conseils. Chacune de leur rencontre est synonyme de tentative de drague, mais rien à faire, elle lui résiste. Et lorsqu'il se fait un peu trop insistant, le ton monte entre eux. Jamais pour bien longtemps, juste assez pour que William calme ses ardeurs et accepte de la laisser souffler un peu. L'ex-prisionnier ne cache pas qu'il aime beaucoup la taquiner en mentant sur leur relation ; il s'amuse à faire croire qu'ils sont bien plus proches qu'ils ne le sont en réalité, riant de la réaction d'Alexis. Ouais, cette petite, il l'aime bien. Et puis... Sans qu'il ne sache trop pourquoi, il la protège un peu, comme si elle était sa petite soeur. Faut dire que ses traits lui rappelle vaguement la jeune Mary Elizabeth...
Chapter 1: hello sexy guy... ; Chapter 2 :[url=]titre du sujet[/url]
garance jenson
crystal reed

i should say thank you, i guess... ; « Je veux négocier. Comme vous n'avez rien contre moi à part une soi-disante source, je préfère vous simplifier la tâche. Vous gagnez plus que vous ne perdez. Vous me relâchez,et j'accepte de faire... Comment on dit déjà dans votre jargon ? Ah ouais, la taupe pour vous. Je vous informe quand y a des coups qui peuvent se préparer. Faut pas croire, je sais pas mal de choses dans ce monde-là. Alors, qu'est-ce que vous en dîtes ? » Et puis il s'était penché en avant pour minimiser l'espace qui le séparait de Jenson et Lestrade. William savait manipuler son monde, il savait qu'il allait obtenir gain de cause, même si le plus haut gradé semblait dubitatif. Les deux flics étaient sortis pour se décider et lorsqu'ils étaient revenus, ils avaient accepté. William se doute qu'il doit sa libération à Jenson ; au contraire de Lestrade, elle semblait lui faire plus ou moins confiance. Il se sent quelque peu redevable envers elle, conscient qu'elle a du faire des pieds et des mains pour convaincre Lestrade d'accepter la négocation. C'est sûrement pour cela, d'ailleurs, que William évite de faire trop parler de lui pour l'instant et qu'il lui livre quelques informations qu'il pense être utiles sur les criminels de Londres. Avec le Yard, vaut mieux être sur ses gardes. On n'est jamais trop prudent.
Chapter 1: [url=]title subject[/url]
victoria dolohov
avril lavigne

give some girls and you can use my hotel; « Un whisky à cette heure-ci ? Vous devriez venir plus souvent, ça ferait monter le chiffre d'affaire. » Tels étaient les premiers mots que le jeune homme a lancé d'un ton langoureux à la jeune femme. Elle était nouvelle, assise au bar, qui plus est, assise à sa place préférée. Elle était jeune et mignonne, il n'en fallait pas plus pour que William l'aborde. Manipulateur comme il l'était et ravissante qu'elle était, le propriétaire du bar s'est dit qu'il pouvait toujours essayé de la recruter pour son théâtre. Qui ne tente rien n'a rien, après tout, non ? Mais la jeune femme avait, de son côté, d'autres plans. Ils se sont longtemps tourné autour ; toute la soirée, pour être franc, avant qu'ils ne s'aperçoivent qu'aucun des deux n'obtiendrait gain de cause. William peut se montrer fervent gentleman avec les jolies demoiselles mais aussi redoutable businessman avec ses rivaux potentiels. Heureusement Victoria est une très charmante brin de femme et au lieu d'être une rivale, l'ex-taulard a réussit à faire d'elle une alliée. Un marché a alors été conclu entre ces deux Maîtres Manipulateur ; Victoria peut disposer de l'hôtel à son aise pour ses divers trafics à la condition qu'elle aide William a grossir les rangs de son théâtre. Mais le jeune homme ne se fait pas d'illusion ; il sait qu'il va devoir lui planter un couteau dans le dos. Bientôt. A vrai dire, pour l'instant, s'il ne parle pas de Victoria au Yard, c'est uniquement parce qu'il est trop occupé à mener sa propre enquête sur la personne qui l'a balancé... Et puis bon, les affaires vont bon train pour lui ; Scotland Yard n'a donc pas besoin de savoir pour la jeune femme. Si ?
Chapter 1: face à face entre deux maîtres dans l'art de la manipulation ; Chapter 2 : [url=]titre du sujet[/url]

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