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MessageSujet: Codes postes   Codes postes Icon_minitimeMar 20 Nov - 16:04


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« Certaines histoires vous marquent à jamais »
Tout était sombre, elle était assise au coin d’une ruelle sombre, se balançant d’avant en arrière en murmurant des paroles inaudibles. Repliée sur elle-même, Morgana avait rapproché ses jambes contre elle comme pour se protéger. Ses mains abimées enlaçaient ses jambes recouvertes d’égratignures et fatiguée de cette longue course, elle se laissait aller. Sa respiration saccadée montrait toute la peur qu'elle avait vécu ces derniers jours

Il était un peu plus de sept heures quand elle se rendit à l’aéroport le plus proche de Quantico. Elle marchait à vive allure, les bagages en main et regardait de temps en temps le nom des portes pour trouver celle qu’elle devait prendre. Lorsqu’elle trouva la porte dix en direction de New York, un soupire de soulagement siffla entre ses lèvres rosées. Elle passa à l’enregistrement des bagages, passa la porte de sécurité et embarqua dans l’avion. Lorsque celui-ci décolla, ses yeux se mirent à pétiller d’admiration. Non, elle n’avait pas le mal de l’air, au contraire, elle était fascinée par les avions. Du moins, quand ceux-ci décollaient et la faisaient monter haut dans le ciel et ce, depuis qu’elle était enfant. Elle avait eu l’habitude étant petite de voyager et à chaque voyage, elle était tout aussi émerveillée par les nuages, la hauteur à laquelle l’avion montait et la puissance de cette machine. Bien sur, elle n’irait jamais s’aventurer plus loin que son petit siège de passager mais elle aimait prendre l’avion. Plus que de prendre le bateau. Une heure passa, deux heures et enfin, quelques temps plus tard, après elle ne savait combien de temps de vol, l’avion atterrit à New York. Elle en sortit, se rendit à l’hôtel et se reposa après ce long voyage. Elle devait venir ici pour une espèce de conférence à laquelle beaucoup de professeurs venant de tout les Etats Unis et de niveau différents, seraient. Elle avait été choisit avec deux collègues à elle pour représenter leur petit lycée coincé en pleins milieu de Quantico. Elle devait faire un discours pour présenter le lycée, les effectifs et s’en suivrait un long débat dessus. Ensuite, avec quelques uns des nombreux professeurs de langues, elle devait choisir les programmes scolaires de l’année prochaine puisque l’année se terminait. Et en venant à ça, elle était conviée à assister à la préparation du diplôme de fin de lycée avec deux ou trois professeurs, ils voulaient un jeune professeur entre quelques anciens pour faire l’épreuve. Après avoir repensée à son long programme, elle s’endormit allongée sur le lit de son hôtel.

Le lendemain, lorsqu’elle se réveilla : elle n’était plus sur le lit de son hôtel. Assise sur une chaise, elle était menottée à celle-ci, les vêtements déchirés et le bout des doigts glacé. Elle tremblait de froid et de panique, ne sachant pas où elle était. Lorsqu’elle reprit ses esprits, elle se débâtit quelque peu et sans succès, elle laissa les larmes couler le long de ses joues. Elle était si effrayé. Elle poussa un hurlement, soudainement portée par la rage de sortir de ce sombre endroit. Ses yeux étaient rougit par les larmes et bien qu’elle ne pouvait pas se détacher, elle tirait sur les liens fortement liés à ses poignets. Elle leva la tête et arrêta de crier quand une porte derrière elle s’ouvrit. Elle entendit des pas dans un escalier en bois qui craquait à chaque fois que le pied du ravisseur posait un pied sur une marche. Son souffle se coupa, elle sentit des frissons parcourir son corps, se faisant plus violent plus il approchait. Elle avalait difficilement sa salive et fermait ses yeux, ne voulant pas croiser le regard de celui qui l’avait kidnappé. Il se pencha sur elle, puisqu’elle sentit son souffle dans son cou. Elle se crispa et poussa un petit gémissement de peur, lorsqu’il lui caressa la nuque d’une main.

« Dire que tu étais toute petite quand je t’ai vu pour la première fois ma petite Morgana, dis-t-il d’une voix douce. Tu étais si jeune et si innocente, tu étais ma petite princesse. Te voilà à mes côtés aujourd’hui pour devenir ma reine, nous revoilà réunit pour passer tout le restant de nos jours ensembles. »

Il passait ses mains sur le corps de Morgana, sans retenue et elle se crispait au fur et à mesure de ses caresses. Et puis, il passa une main sur le ventre légèrement rebondit de la jeune femme.

« Ce petit être est un obstacle à notre amour, ma reine. Il va falloir que je l’élimine mais je vais devoir te faire du mal à mon grand regret. Pardonne-moi d’avance ma belle. »

Il délirait. Morgana hurla un grand coup, de peur et de rage. Il n’avait pas le droit de toucher à son enfant. Et puis, ne sachant pas trop comment, les liens qui la retenaient se délièrent. Elle se jeta sur son ravisseur, essayant de se battre avec lui mais la fatigue, la force de celui-ci et le fait qu’elle était enceinte de plus de cinq mois la rendait vulnérable. Elle reçu un coup dans le haut du ventre et lui donna un coup dans la partie intime de l’homme, hurlant de rage et de douleur. Pas de chance, il ne lui avait pas retiré ses chaussures et elle avait des escarpins aux bouts pointus. Il attrapa un couteau et lui donna un coup dans le bras, lui entaillant celui-ci. Le sang coulait à flot sur son bras mais cela ne l’empêcha pas de vouloir partir. Elle retira ses chaussures, se leva et monta les escaliers. Sans trop savoir comment, elle se retrouva à l’extérieur de l’endroit où elle était retenue. Ouvrant la porte, elle vit des arbres devant elle et poussa un soupir de désespoir. Il avait prit soin de prendre un abri en pleine forêt. Ne sachant pas où elle allait, elle se mit à courir, sa respiration était courte, les larmes coulaient sur ses joues tout comme la sueur perlait sur son front. Elle courut ainsi quelques temps, avant d’entendre des cris. Il était là. Il l’appelait. Elle regarda partout autour d’elle et aperçût un trou dans lequel seule une femme pouvait se faufiler. Un homme n’avait pas la carrure pour y aller. Elle s’y cacha et s’y roula en boule, le plus au fond possible pour pas qu’il ne la voit et de façon à ce qu’il ne l’attrape pas. Et puis la nuit tomba. Il abandonna et rentra chez lui, supposa–t’elle. Elle s’endormit et fut réveillée le lendemain matin par quelque chose qui lui chatouillait le nez. Elle ouvrit les yeux et découvrit un jeune chaton qui lui faisait sa toilette. Elle le caressa quelques minutes, se réconfortant de la nuit passées et se figea lorsqu’elle entendit l’homme revenir. Elle serra le chat contre elle, de peur qu’il ne lui fasse du mal et retint sa respiration lorsqu’il passa près de sa cachette. Lorsqu’elle le crut assez éloigné, elle sortit et se mit à courir. Elle courut longtemps, poursuivit pas cet homme qui l’avait entendu. Sans trop savoir comment, à force de courir, elle se retrouva au long d’une route. Elle trouva un vélo et l’attrapa, pédalent le plus rapidement possible. Après quelques heures, elle se reposa, épuisée. Aucune voiture, aucun camion n’acceptait de la prendre en route lorsqu’elle essayait de les stopper. Quel monde stupide. Lorsqu’elle se remit en route, elle roula jusqu’à la tombé de la nuit pour finalement arriver dans une ville. Quel soulagement fut lorsqu’elle reconnu New York. Frigorifiée, épuisée, elle descendit de son vélo mais lorsqu’elle croisa une voiture, elle vit une personne qu’elle reconnu. Son ravisseur. Il l’avait suivit jusque là ? Elle se mit à courir puis trouva une petite rue. Elle s’y installa bien au fond, cachée dans la neige et attendit.


Et c’est ainsi qu’elle se retrouva dans cette rue, complètement frigorifiée, épuisée et terrorisée. Soudainement, elle entendit des bruits de pas venir vers elle. Elle se recroquevilla sur elle-même et poussa un gémissement de peur, continuant de se balancer d’avant en arrière. Elle chantonnait des chansons d’enfant comme pour rassurer le bébé qui grandissait en elle et se rassurer aussi. Lorsque la personne se rapprocha d’elle et se pencha vers elle, elle n’osa pas la regarder et se remit à pleurer à chaudes larmes. Elle sentit une main sur son bras qui lui rappela la douleur que lui faisait celui-ci. Elle repoussa la personne et se colla un peu plus au mur derrière elle, terrorisée. La peur la tétanisait, elle n’osait pas bouger plus. Sentant des bras l’enrouler comme pour la bercer, elle se laissa faire. Elle ferma les yeux et s’avouera la chaleur que lui procurait l’autre corps.
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