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 Alicja L. Zeleski

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MessageSujet: Alicja L. Zeleski   Alicja L. Zeleski Icon_minitimeMar 28 Aoû - 16:03


FBI Confidential File n°00328 000 00

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
ALICJA L. ZELESKI
FEAT. EMILY 'EMMA' STONE


identity card ; state of virginia


N° D'IDENTIFICATION • Vous sera donné par un administrateur

SEXE • féminin masculin
NOM • Zeleski
PRENOM(S) • Alicja, Liadan, Airikah, Morrigan
ÂGE • 29 ans
DATE • 23.12.1983 ; 05:09 pm
LIEU • Łódź (Łódź) ; Pologne
NATIONALITE(S) • Polonaise et Américaine d'origine Irlandaise et norvégienne
ETAT CIVIL • Célibataire
EMPLOI • Agent fédéral au Federal Bureau of Investigation, Bureau de Washington DC (anciennement hacker pour une entreprise classée top-secret ; serveuse dans un bar dans les quartiers défavorisés de Washington DC ; critique littéraire pour un journal local).
SPECIALISATION(S) • Missions d'infiltrations
ETUDE(S) • Etudes de Lettres ; Faculté de Journalisme et de Criminologie. Elle a également suivit des cours par correspondance de médecine légale, droit, psychologie. Ecole de théâtre.
VILLE • Washington DC (MD)

HABITATION • Villa - Maison - Appartement - Loft - Studio
GROUPE • Profiler - Apprentice profiler - FBI - Other - Media


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about your character
.
Ted Crawford a écrit:
Même une pendule cassée donne l'heure juste... Deux fois par jour.


What's in your mind ?
« Rika, chérie, arête de gigoter veux-tu ? Je n’arriverai jamais à soigner ton égratignure si ne cesses pas de te débattre ! » Mais l’enfant ne l’écoutait déjà plus. Elle esquissa un mouvement brusque, releva son coude qui alla se planter dans les côtes de Wilma Tess Dabrowski tandis que son pied venait s’écraser violemment sur celui de la jeune femme. Celle-ci lâcha l’enfant sous le choc et la gamine en profita pour s’esquiver des griffes de sa mère et du coton d’alcool qui devait désinfecter sa plaie. Elle avait deux ans et demi, bientôt trois et souffrait d’hyperactivité. Elle ne tenait tout bonnement pas en place. Il était impossible pour être de rester assise sur une chaise des heures durant ou de rester concentré sur une même activité plus de dix minutes. Même si cette activité la passionnait, au plus grand damne de ses parents, d’ailleurs. Ils étaient constamment contraints de lui courir après pour lui enfiler son tee-shirt, ou la panser. Mais l’enfant avait la vélocité d’un animal sauvage. Elle leur glissait entre les doigts, leur échappait à la moindre occasion. Parfois, elle se faisait violente pour parvenir à ses fins ce qui valait alors une bonne claque pour la remettre dans le droit chemin et un emprisonnement dans sa chambre pendant une heure. Pourtant, en temps normal, Alicja était le portrait même de la gentillesse et de la douceur. Mais il y avait cette flamme, au fond de son être, qui la faisait agir par pulsion dès qu’on lui demandait de rester calme. Très capricieuse, il lui arrivait de taper du pied lorsque ses parents insistaient et la tenait fermement par le bras pour qu’elle ne leur échappe pas.

« Miss Zeleski, ce n’est pas parce que vous avez des résultats admirables que cela vous permet de divertir la classe. » Sourire moqueur sur le bout des lèvres, Alicja se tourna vers le professeur de littérature et leva les mains en signe d’innocence. Treize ans, l’âge ingrat dit-on. C’était probablement vrai pour la jeune fille qui avait bien changé sur beaucoup de points. Déjà physiquement, mais aussi mentalement. Elle avait appris à être un peu plus calme, à rester assise lorsque la situation le lui demandait. Mais elle avait aussi appris à mentir pour se protéger, à ruser. Elle avait développé un esprit tactique – un esprit qui était apparu depuis qu’elle avait connu Edward, étrangement – pour mieux pouvoir mentir et manipuler les autres. Elle s’était aperçue qu’elle était intelligente ; pas assez pour en devenir prétentieuse, mais assez pour se rendre compte du manque de culture des autres. C’était sans doute pour cela qu’elle était plutôt du genre solitaire. Ce n’était pas qu’elle était très fermée d’esprit – bien qu’elle avouait ne pas être très ouverte sur le monde et sur les personnes qui l’entouraient lorsqu’elle les jugeait trop simples – juste qu’elle préférait rester avec Edward qui lui apprenait sans cesse des choses de la vie. Elle aimait apprendre et il était la seule personne qui semblait être capable d’assouvir sa curiosité insatiable.

« Mais qu’est-ce qui ne tourne pas rond chez toi Zeleski ?! » La jeune femme grogna, découvrant ses dents tel un chien enragé, pour toute réponse. Elle venait d’abattre son poing sur le nez d’un de ses collègues serveur qui venait de lui caresser le bras par inadvertance. Le coup était parti avant même qu’elle n’ait eu le temps de l’anticiper. L’impulsitivité dont elle faisait preuve lui valait souvent des remarques désobligeantes de la part de ceux qui l’entouraient mais c’était vraiment ce qui lui importait le moins. Elle avait vingt-ans et dormait peu. A vrai dire, elle se demandait si elle n’était pas devenue insomniaque. Même lorsque la fatigue l’accablait, elle ne parvenait pas à trouver le sommeil ce qui était assez dérangeant. Elle n’était déjà pas d’une nature patiente mais avec le manque de sommeil elle se montrait violente et agressive envers quiconque l’approchait. Si l’on rajoutait à cela le départ soudain d’Edward, dire que la jeune femme était sur les nerfs était un véritablement euphémisme. A côté de cela, elle était plus déterminée que jamais à continuer ses cours de criminologie dans l’espoir de devenir agent fédérale. Et ce, bien qu’elle ait acquise la nationalité américaine il y avait encore peu de temps.

« Il paraît qu’elle s’appelle Alicja Zeleski. Drôle de nom. D’après ce que j’ai entendu dire elle aurait abattu un homme de sang-froid dès sa première mission, vous y croyez, vous ? On ne dirait pas, pourtant. Elle ressemble tant à une petite fille… » Mais il ne faut jamais se fier aux apparences. Les rumeurs étaient toutes fausses. Elles l’avaient toujours étés, de toute façon, sinon ce n’étaient plus des rumeurs. Et Alicja ne leur accordait aucune attention. Très instinctive, elle se fiait toujours à son avis plus qu’à celui des autres. De toute façon, elle ne demandait jamais leur avis aux autres ; c’était d’ailleurs pour cela que, bien souvent, lorsque quelqu’un n’aimait pas quelque chose, elle, elle l’adorait. Un besoin d’être en désaccord avec les autres comme elle l’avait si souvent été avec Edward. C’était une habitude et comme elle n’avait plus réellement l’occasion de voir son ami d’enfance, elle se rattrapait avec le monde. Même si le monde ne valait pas Edward. Elle se savait étrange, aux yeux des autres, et elle en profitait sans s’en cacher. Elle avait construit une barrière de mystère tout autour d’elle ; dès qu’une personne avait la prétention d’affirmer la connaître elle changeait du tout au tout, voulant lui prouver le contraire. Peut-être ne prenait-elle pas la vie assez au sérieux ? Peut-être que, pour elle, la vie n’était qu’un jeu ? Oh, peu importe. Du moment qu’elle reste maîtresse d’elle-même tout lui convient. Elle passait du rire aux larmes, de la frustration à l’émerveillement. Elle jouait un rôle constant. Dès qu’une situation devenait trop délicate, sérieuse ou trop personnelle, elle revêtait son meilleur costume et allait sur scène. Mystérieuse, énigmatique, soupçonneuse et méfiante, elle l’était. Peut-être même trop. Mais elle avait été trop souvent blessée par son entourage proche. Il était hors de question pour elle de revivre une telle situation.



Physical description
« Elle sait attirer l’attention » ─ PHINEAS MCKAIN, ancien camarade de classe d’arithmétique d’Alicja L. Zeleski.
Et c’était un euphémisme. Elle n’était pourtant pas de ceux qui aimaient être le centre d’attention mais elle savait attirer les regards lorsqu’elle le voulait. Surtout à l’époque du secondaire. Ses cheveux, alors brun clair, et ses yeux entre le bleu royal et le gris anthracite étaient ses plus précieux atouts. Parce qu’elle n’avait jamais été très gâtée par Dame Nature et sa poitrine n’allait pas dans les excès. A cette époque, on la surnommait d’ailleurs la planche à repasser. Mais, malgré cela, Alicja avait ce don pour transformer ces quelques insuffisances en merveilleuses qualités. Ainsi, les garçons gardaient les yeux rivés sur elle. Mais attention ; uniquement lorsqu’elle le souhaitait. Et ça, qu’elle ait un sweat ou un top. Qu’elle soit en robe ou en survêtement.

« Vous connaissez cet acteur qui se déguise pour tous ses rôles ? Eh bien Alicja est son équivalent féminin. Joanna Depp, en quelque sorte… Elle peut se glisser dans n’importe quelle tenue sans que cela se voit. » ─ PATRICIA D. CEIRRA, professeur de théâtre et examinatrice d’entrée au FBI.
Elle se fondait dans la masse. Partout où elle allait. Elle avait cette étonnante capacité à changer d’apparence du tout au tout ; en une semaine, il lui arrivait de changer de couleur de cheveux à maintes reprises : passant du roux au brun, puis du brun au roux avant de devenir blonde. Le pire était sans doute que chacune de ses couleurs lui allait à ravir. Et personne ne la reconnaissait jamais. Elle n’avait pas de style particulier, pas de bijoux porte-bonheur ou de babioles familiales avec un passé glorieux. Elle se fondait dans la foule dans une rue quelconque d’une ville quelconque ; elle passait inaperçue lors d’un concert d’AC/DC ; personne n’était perturbé si elle prenait soudainement un style gothique, pas plus qu’on ne s’étonnait quand elle sortait une carte d’étudiante aux ambitions floues et incertaines. Grande adepte de déguisement, son appartement était meublé par diverses malles contenant tous les accessoires possibles et imaginables ; lentilles, chapeaux, lunettes, faux tatouages ou fausses cicatrices. Les lois du maquillage n’avaient plus aucun secret pour elle.

« Honnêtement ? Je me suis toujours demandé ce que Zeleski foutait au FBI ; il n’y a pas de place pour les pom-pom girls ici. » ─ ADRIAN HOOK, collègue d’Alicja L. Zeleski.
Il était vrai qu’avec son petit mètre cinquante-sept et ses soixante-quatre kilos toute mouillée, Alicja était loin du stéréotype de l’agent fédéral américaine. Ce qui lui convenait parfaitement, d’ailleurs ; cela lui évitait d’éveiller les soupçons lors de ses infiltrations. Mais les incessantes brimades de ses collègues quant à sa taille la blessaient bien plus qu’elle ne voulait l’avouer. Fort heureusement, les apparences sont bien souvent trompeuses ; depuis qu’elle l’avait entendu dire dans une des séries télévisées qu’elle suivait avidement, Alicja aimait se définir comme étant « petite mais coriace. » Son corps, qui n’était, en soi, pas trop vilain, avait appris à se muscler finement au fil des exercices qu’il subissait et ne craignait donc plus ses joggings quotidiens, ni ses séances d’entraînements intensives. Elle aimait son corps et elle en prenait soin ; c’était d’ailleurs ce qui lui valait le surnom de Pom-pom girl parmi ses pairs.



Are you good at your job ?
« Tu veux faire quoi, plus tard ? » « Je veux être célèbre. » Qui aurait pu imaginer que la petite gamine blonde qui rêvait de célébrité et de parcourir le tapis rouge allait évoluer pour changer d’orientation professionnel ? Et pourtant, son rêve de devenir actrice fut longtemps celui qui rendait ses yeux brillant d’envie. Et puis, un jour, face à son miroir le verdict est tombé. Les actrices sont toutes d’une beauté presque illusoire. Et elle, elle n’était pas particulièrement belle. Alors elle a renoncé à ce désire de gloire et de célébrité. Non sans un certain pincement au cœur. Elle était passionnée de théâtre, de cinéma ; mais elle avait d’autres projets, d’autres ambitions.

« Notez quels sont vos projets post-examen de cette année. » Armée de sa plume, Alicja nota délicatement « Une fac de journalisme ». Rédiger des articles, c’était ce qu’elle aimait bien faire, une fois de temps en temps. D’ailleurs, elle avait déjà publié quelques uns de ses textes dans le journal local de Washington DC sous un pseudonyme quelconque. Elle était décidée à faire une brillante carrière dans le journalisme. Peut-être pas en tant que reporter ou rédactrice mais plus comme critique littéraire. Elle était loin de se douter qu’elle allait commencer dès les bancs du secondaire. Et pourtant, elle s’occupa de rédiger quelques critiques. D’abord pour elle, avant de les envoyer au journal. Elle était publiée avant même de commencer sa seconde année de secondaire. Quatre ans plus tard, son tout premier recueil de poèmes faisait la une des librairies.

« Vous êtes ici pour étudier la criminologie, pas pour plaisanter. A vous de me montrer que votre place est ici. A vous de vous prouvez que vous allez passer ce premier semestre avec brio. » Assise dans l’amphithéâtre, Alicja avait une boule au fond du ventre. L’appréhension de ce premier cours lui tenaillait les entrailles mais elle était motivée. Elle voulait travailler dans le judiciaire. Elle voulait connaître l’adrénaline. Et pour cela, quoi de mieux que d’entrer au FBI, directement ? Fini les rêves de petite fille, elle entrait à présent dans la cour des grands. Elle allait apprendre à comprendre les criminels. Et plus son année avançait, plus elle se passionnait pour ce métier. Le soir, elle bossait deux heures dans un bar miteux en bas de son immeuble avant de remonter pour suivre des cours par correspondance. Un emploi du temps chargé et il n’était pas rare qu’elle fût contrainte de faire une nuit blanche pour réussir à terminer chacun de ses exposés ou de ses devoirs. La médecine légale, le droit, la psychologie et la criminologie n’allaient avoir aucun secret pour elle. Elle plaçait la barre haut, mais elle se savait capable de réussir.

« Vous avez des connaissances informatiques ? » « Je me débrouille. » « Soit ! Vous êtes engagée ! » Elle n’aurait crut que ce soit si simple. Elle avait démissionné du bar où elle avait travaillé pendant près de quatre ans et avait postulé dans cette entreprise qui recherchait une « Black Hat » dans le monde informatique. Comme elle avait besoin d’argent pour continuer le financement de son école de police mais aussi de son école de police, elle avait vivement espéré d’être acceptée. Ce fut le cas. Elle avait accueillie la nouvelle avec un fin sourire dissimulé par son masque rigide. Ce n’était sans pas pour le long terme, ce contrat, mais cela pouvait toujours lui être utile.

« Lily ! Les résultats du concours ont été affichés ! » Un regard échangé et les deux étudiantes se précipitèrent vers le tableau. Alicja accusa le coup comme un couteau en plein cœur. Elle avait été recalée de trois points à cause des tests d’aptitudes physiques. Et pourtant elle avait bossé comme une forcenée pour obtenir ce fichu diplôme. Elle maugréa, rumina toute la soirée, dans son coin, pendant que ses camarades fêtaient leur réussite à grands verres d’alcool. Elle travaillait à présent en tant que critique littéraire, de chez elle, et, à mi-temps, elle continuait d’aider l’entreprise en tant que hackeuse. Mais ces deux emplois ne la satisfaisaient pas. Elle avait besoin de plus. Alors, trois mois après avoir été recalée, elle s’y essayait de nouveau bien déterminée à réussir, cette fois-ci.

« Bravo agent spécial Zeleski, votre première enquête solo est une véritable réussite ! » « Merci, monsieur. » Les joues roses, Alicja regardait abidement la plaque dorée que lui tendait son supérieur ? Elle avait vingt-sept ans, ou presque, et venait de réussir son examen d’entrée au FBI après un premier essai pour le moins… Raté. Elle s’était entraînée jour et nuit pour ce jour-là sans jamais imaginer l’immense fierté qui la faisait sourire béatement. La jeune femme préférait travailler seule mais ne rejetait jamais l’aide de ses collègues, dans la limite de ses capacités d’écoute. De toute façon son but ne s’arrêtait pas à être un simple agent fédéral. De l’ambition, elle en avait à revendre. Elle était spécialisée en missions d’infiltration, grande adepte du déguisement qu’elle était, et hésitait à se spécialiser dans un crime dit « violent » pour essayer de se présenter aux examens d’entrée du Behavioral Analysis Unit, mais elle n’avait guère la patience d’attendre d’être sélectionnée. D’autant plus qu’ils ne prenaient que les meilleurs des meilleurs. Alors elle penchait de plus en plus pour les US Marshall. Après tout, cela ne consistait-il pas à déguiser un témoin jusqu’à la date du procès ?



Who are your friends ?
O'CALLAGHAN, EDWARD Z.(and i hate how much i love you) « Il est pas beau ton château de sable » « T’as qu’à en faire un toi, si tu le trouves pas beau ». Au départ, ce n’était qu’une petite pique, prononcée avec la franchise et la naïveté qui est propre aux jeunes enfants. Un moyen d’aller vers l’autre qui avait de beaux jouets et qui était seule, dans le bac à sable. Edward avait les poches pleines de voitures volées – ou plutôt « gagnées » à l’amiable comme il aimait le prétendre à l’époque – et Alicja était, elle, tranquillement assise dans son coin. Déjà à cette époque elle était belle. Ou plutôt, mignonne comme il est normal de qualifier les enfants de quatre ans. Et puis elle était nouvelle et avait ce petit accent que le jeune garçon trouvait amusant. Ils sont vite liés. Elle, elle le trouvait gentil et plutôt mignon, faisant croire à toutes les autres filles de l’école qu’Edward était son amoureux. Quant à lui… Oh, elle ne savait pas vraiment ce qu’il pensait, mais ce n’était pas le plus important.

« Pff, tu ne sais pas c’qui c’est bon toi. Les sciences, ça, c’est bien ! » « Fais-moi rire ! L’art permet de se libérer et de se poser des questions sur l’existence. Ta science elle fait quoi, hein ?! » « Oh, écoutez-la, elle joue les philosophes avant l’heure. » C’était comme un accord tacite entre eux. Ils ne l’avaient jamais réellement prononcé, mais ils se comprenaient. Ils n’avaient pas le droit d’être d’accord sur un sujet. Ils avaient déjà tenté l’expérience et leur relation leur avait paru d’une simplicité effrayante. Dès lors, ils se forçaient à avoir des avis différents, enclenchant ainsi diverses disputes. Mais s’ils partaient séparés, c’était pour mieux se retrouver, le lendemain matin. Ils avaient l’impression que leur relation n’en était que plus fusionnelle à chaque fois. En réalité, ils ne savaient pas si cela était réellement dû au fait qu’ils soient en perpétuel désaccord, mais leur situation leur convenait comme elle était alors ils n’allaient pas chercher plus loin. Et puis cela ne les empêchait pas de s’entendre, d’une façon générale. Les autres les regardaient d’ailleurs d’un air suspect, soufflant quelques rumeurs absurdes sur leur sujet. Certains pensaient qu’ils étaient amants et feignaient de se disputer pour attirer l’attention et la jalousie des autres. D’autres prétendaient encore qu’ils étaient en réalité frères et sœurs et pratiquaient l’inceste. Alicja et Edward n’avaient que faire des qu’en dira-t-on. Ils étaient amis. Meilleurs amis.

« Dis-moi que ce n’est pas toi qui a mis le feu à la villa de mon père ! » « » « Edward, réponds-moi ! » Il ne répondit pas, conserva le silence, le regard sombre. « Espèce d’enfoiré ! Pourquoi t’as fais ça, hein ?! Réponds-moi ! Tu croyais vraiment qu’il me battait ?! Mais t’es vraiment qu’un pauvre type ! Casse-toi ! Je ne veux plus te voir. T’as compris ?! Casse-toi ! » Mais il ne parti pas. Il ne fit même pas mine de vouloir tourner les talons alors elle fondit sur lui et martela son torse de violents coups de poing. Et puis elle s’était calmée, ses cris avaient cessé, les larmes avaient séché. Il l’avait alors enlacé, lentement. Cette nuit-là avait été la première fois qu’ils affirmèrent les rumeurs. Ils se lièrent charnellement et pourtant, tous deux eurent l’impression que ce n’était pas la première fois. « Viens, on se casse aux Etats-Unis. » Ce n’était pas tellement une demande. Et même si ça l’avait été, Alicja l’aurait suivit, aveuglément. Ils franchirent la frontière, rejoignirent la capitale politique de cette puissance mondiale. Ce fut le début de la fin.

« Lève les mains et tourne-toi lentement ! Et ne me fais pas répéter je déte… » « Tu détestes te répéter, je le sais bien, ‘Licha. Ou dois-je t’appeler agent spécial Zeleski maintenant ? » « Edward ? » Elle en avait eu le souffle coupé. Edward était en face d’elle, au-dessus d’un corps inanimé, l’arme du crime à la main. Il lui fit face. Lentement. Elle accusa le coup. Difficilement. Sous l’effet de surprise elle n’eut même pas de larmes. Juste un hoquet. Lui était impassible. Elle n’aurait sut dire s’il était surpris ou heureux de la revoir. Elle ne parvenait même pas à déglutir, avait abaissé son arme sans le voir. Ils s’affrontèrent du regard. Peut-être une petite poignée de minutes, peut-être d’interminables secondes. Il y eut du mouvement à l’étage du dessous et Edward s’éclipsa. L’arme du crime en main, sans qu’Alicja n’ait eu le temps de comprendre la scène qui s’était déroulée. Ses collègues l’interrogèrent mais elle n’avait aucune réponse à leur fournir. Alors elle quitta les lieux, à son tour, du baume au cœur. Le soir-même, elle allait rejoindre son ami d’enfance dans un bar des bas quartiers de Washington DC. Là encore, ils conclurent une sorte d’accord silencieux. En quoi il consiste ? Eux-mêmes l’ignorent. Mais Alicja s’est promis intérieurement de le boucler, de le foutre derrière les barreaux.

« C’est fini Edward. Tu ne peux pas t’échapper, cette fois-ci. » « Comme toutes les fois précédentes, et pourtant, tu ne m’as jamais arrêté. » Elle ne broncha pas alors qu’il s’approchait à pas feutrés. Ferma doucement les yeux lorsqu’il tendit la main et caressait sa joue du bout des doigts. « Laisse-moi fuir. A last time… » Elle entr’ouvrit la bouche, profitant du contact de leur deux peaux. Il se pencha en avant comme pour l’embrasser. La manipuler avant de la quitter comme il l’avait si souvent fait. Leurs lèvres se joignaient lorsqu’un « clic » retentit dans la pièce. Peu surpris, Edward se contenta de baisser la tête, soufflant sur les paupières toujours closes de l’agent fédéral. « Bien joué, ‘Licha ». Elle ne répondit pas, ouvrit simplement les yeux et referma la seconde menotte sur son poignet alors que les renforts accourraient. Deux policiers l’emmenaient et elle le regarda s’éloigner, le cœur lourd.





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What's your story ?
Driver a écrit:
You give a time and a place. I give you a fifty-minute window, anything happens in that five minutes and I'm yours no matters what. I don't sit in while you're running it down; I don't carry a gun... I drive.
« Alicja ? La fille de Wilma et Hassan ? Oui, je me souviens d’elle. Ils habitaient au bout du quartier. Oh, c’était une belle histoire que la sienne. Je connaissais ses parents depuis quelques années ; je les avais rencontrés lors d’une soirée mondaine et j’avais su gagner leur sympathie. Des gens charmants si vous voulez mon avis, mais ils étaient connus pour être des marginaux. Je ne sais plus trop de quel milieu Wilma était originaire, mais il me semble qu’elle était polonaise de naissance. Mais sans doute pas l’héritière d’une longue lignée. Lui, par contre, était un artiste bohème. En réalité, on aurait presque pu croire qu’il sortait tout droit d’un roman d’Emile Zola. Cela ne faisait aucun doute qu’il était très doué ; il peignait d’ailleurs admirablement bien mais il n’avait pas connu le succès espéré en Norvège… Alors il a migré en Pologne. Les premières années, il s’est de nouveau heurté à un mur lorsqu’il voulait exposer ses tableaux… Je lui ai souvent proposé de lui en acheter quelques uns, mais il refusait catégoriquement à chaque fois. De toute façon, Wilma et son petit travail de caissière semblait subvenir à leurs besoins. Et puis il y a eu cette grossesse. Je ne sais pas si elle était désirée – mais je ne pense pas. Hassan a alors monté une entreprise d’import-export qui a étonnamment bien fonctionné. Maintenant que j’y repense, je crois me souvenir que sa famille avait plusieurs entreprises en Norvège, déjà. Cette réussite professionnelle leur a permis de vivre dans de meilleures conditions et d’élever leur fille. Elle est née en décembre il me semble. Un jour où il a sacrément neigé, d’ailleurs ! Ils formaient une parfaite petite famille. Alicja avait déjà un sacré caractère. Elle courrait toujours de partout depuis qu’elle savait se tenir sur ses jambes. Une vraie petite pile électrique ! Mais qu’est-ce qu’elle était mignonne, un ange. (…) Et puis un jour on les a moins vus. Ni Hassan, ni Wilma. Je crois qu’elle était malade – je n’ai appris que bien plus tard qu’elle était atteinte de la maladie de Creutzfeldt-Jakob – et cela les a anéanti. Hassan a demandé le divorce, ne supportant pas de voir son épouse dans un tel état et a fait placer Wilma dans un centre où on s’occuperait bien d’elle. Un an plus tard, Alicja et son père déménageaient je-ne-sais-où… C’est plutôt triste non ? Mais je trouve cela tellement beau… »
─ AGNIESZKA JEDRYCH, ancienne voisine des Zeleski (retraîtée).

« Zeleski ? C’était pas le genre de fille avec qui j’aimais traîner. A vrai dire, personne n’aimerait traîner avec elle, à part c’timbré d’O’Callaghan. Elle était vraiment… Space comme fille. Mais pas vraiment dans le bon sens. Y a des spaces cool… Et y a les autres. Bah elle, elle faisait plus partie de la deuxième catégorie. D’jà, elle avait c’t’accent étrange d’Europe. Je crois qu’elle a débarqué au Canada quand elle avait quatre ans, par-là. On était dans la même école. Elle était toujours toute seule, dans son coin, à jouer avec ses poupées. Et puis O’Callaghan est allé la voir et ils ne se sont plus lâchés d’une semelle après ça. Mais vraiment plus, hein ! Alors au départ, on s’en foutait, on était tous un peu des gosses, vous comprenez. Puis quand on a eu vers douze ans, ça semblait vraiment bizarre. Ils étaient toujours fourré l’un avec l’autre. Y en a qui disaient qu’ils étaient demi-frère et sœur, d’autres qu’ils avaient fait des choses ensembles. Perso, je ne sais plus vraiment ce que je pensais… Sans doute qu’ils étaient deux attardés. Enfin bref. Y avait pas mal de rumeurs sur Zeleski. Faut dire qu’elle savait faire parler d’elle, hein. (…) Il paraîtrait même que sa mère était folle à liée et que son père l’a fait enfermé. Pour ça qu’ils ont débarqué ici. Zeleski fille a eu un problème, je crois que les médecins appellent ça un déficit des hormones de croissance, un truc du genre quoi. En gros, elle est très petite. Ca n’a pas toujours été facile en cours à cause de ça. Enfin, vous connaissez l’intelligence des adolescents, j’suppose, non ? (…) Y avait une fille, Elena Di Meglia qui vivait pas loin de chez Zeleski. Elle nous racontait que son père faisait la tournée des bars tous les soirs et qu’il battait sa fille. Zeleski niait tout. Moi je crois que c’était pour attirer l’attention qu’elle faisait croire que rien n’était vrai. Tss. Une vraie garce cette fille-là. Un jour, je me suis proposé pour l’accompagné au bal de promo. Elle m’a balancé son poing dans la figure et le soir-même, O’Callaghan me menaçait. J’vous dis, y avait un truc louche entre les deux… »
─ JEFFREY HENDERSEN, ancien camarade de classe d’Alicja Zeleski (étudiant en médecine).

« Hm. Ce dossier remonte à plusieurs années maintenant, vous savez… Pourquoi tenez-vous tant à le voir ? Ha ! Le voilà, le petit malin s’était glissé entre le X et le Y. Entre un bleu qui a dû se tromper. Ah, je vous jure ! Ces nouveaux ne sont plus ce qu’ils étaient avant. Enfin… Ca date de deux mille un. Quelques jours après les tours jumelles, d’ailleurs. C’est sûrement pour ça que l’accident est passé inaperçu. Oui parce qu’il était clair, à l’époque – bien que mon opinion à ce sujet n’a guère changé aujourd’hui – qu’il s’agissait d’un accident et de rien d’autre. Les incendies criminels sont rares ici, vous savez. Et personne n’avait de raison apparente de vouloir brûler Hassan Zeleski chez lui… Je me souviendrai toujours de cette affaire. La plus courte de toute ma carrière. En une semaine elle était bouclée, ce qui n’était pas au goût de la fille du défunt. Ali… Ali… Ali quelque chose il me semble qu’elle s’appelle. Nous étions sur place bien avant qu’elle n’arrive. Elle était avec un ami, un certain O’Callawan. Ou O’Sullivan. Enfin, quelque chose dans le genre, quoi. (…) Elle a été anéantie. A peine avait-elle vu le feu qu’elle accusait son ami d’être l’incendiaire. Elle hurlait. On aurait dit une possédée. Nous avons, bien sûr, fait des recherches, mais rien de concluant. Le jeune homme n’était pas suspecté de quoique ce soit, à part être amoureux d’elle, sans aucun doute. D’ailleurs, bon nombre de leur entourage déclarait les trouver proches mais ils n’avaient jamais aucun contact physique. Ils ne se touchaient pas. Jamais d’après les témoignages. Mais cette nuit-là, après qu’elle l’ait rué de coup, il lui a tenu la main. Toute la nuit et même tout le matin. Enfin. Elle avait presque dix-huit ans mais on a quand même cherché à la placer dans une famille d’accueil. Mais son ami s’est occupé de tout. Un bon petit gars. Vraiment. Surtout qu’en cherchant dans le passé des Zeleski, on a vite vu que la gamine était pleine aux as. Son père avait toute une fortune qu’il lui léguait mais sur lequel elle n’avait aucun droit avant le jour de ses dix-huit ans. Et puis sa mère était en Pologne, malade. Alors on ne pouvait pas la renvoyer là-bas… (…) Finalement, ils ont tout simplement disparu du jour au lendemain. Je pense que son ami, le beau gosse, y est pour quelque chose. Elle, elle semblait bien trop perturbée pour prendre la moindre décision. Depuis, plus aucune nouvelle d’eux… M’enfin. C’est la vie, hein. »
─ EMILIEN A. ALBERTFORD, lieutenant de la brigade anticriminelle de Waterloo (capitaine de la brigade anticriminelle).

« Zeleski… Zeleski… Ha ouais ! La minus, là ? Ouais, je m’en souviens assez. Enfin, je me souviens surtout de sa magnifique Honda CB350. Un vrai bijou qu’elle conduit. Elle doit être friquée parce que ce n’est pas la moto la plus accessible. Et puis avec toutes les amendes pour excès de vitesse qu’elle se prend… Enfin. Je me souviens quand elle étudiait encore la criminologie, elle venait souvent s’asseoir au Bureau. Parfois, elle restait la journée entière, comme ça. D’autres, elle venait et nous posait un millier de questions en l’espace de quelques secondes. Elle voulait passer l’examen. Alors je l’ai un peu guidé. Une fille gentille, mais un peu bizarre. Parfois, elle s’énervait toute seule. Mais je dois bien reconnaître qu’elle s’entraînait très dur. Les poches sous ses yeux étaient immenses certains jours, pour dire ! Au final, je crois qu’elle ne l’a pas eu du premier coup… C’est plutôt dommage parce qu’elle le méritait mais bon. Je ne suis pas examinateur. (…) Ses premières enquêtes ont été réussies, dans l’ensemble. On ne lui accordera sans doute pas le prix de Meilleur Agent de l’année, ni même du siècle, mais elle a de bonnes ressources. Et puis elle est pleine de surprise, ce qui est toujours un plus dans notre métier… Elle a toujours un contact. Peu importe le domaine, ce qui est bien utile, en toute honnêteté. (…) Mais… J’ai parfois l’impression qu’elle n’est pas à fond dans son travail. Enfin, c’est une façon de parler, mais… En fait, il y a eu une enquête un peu louche. Deux victimes, tuées à trois mois d’intervalle. Un mode opératoire des plus simples, aucun lien entre les victimes rien… On n’avait aucune piste. Et puis un jour, si. On s’est aperçu que le tueur nous laissait un mot pour nous avertir de son prochain méfait. On ne s’en est aperçu que le jour-même. Alicja était en infiltration à côté, alors on l’a envoyé le temps que le reste des forces spéciales se préparent. Elle a eu le droit à un face à face avec le criminel. Elle n’a jamais voulu nous dire son identité, mais elle a exigé d’être sur l’enquête. Elle a dégagé tous ceux qui tentaient de l’aider pour être la seule sur cette affaire. Pourquoi ? On n’en sait rien. Personne ne le sait. Tout ce dont je suis au courant, c’est qu’elle aurait put le boucler à plus d’une reprise mais qu’elle ne l’a pas fait… Enfin, si, l’autre jour. Mais… Pour vous dire la vérité… J’ai peur de ce qui pourrait arriver. De toute évidence, elle connait ce fameux O’Callaghan… Et lui il a l’air d’avoir plus d’un tour dans son sac… Mais, au fait… Pourquoi vouliez-vous savoir tout cela sur Zeleski ? Elle a des ennuis ? J’aimerai bien le savoir, tout de même ! »
─ MEXENCE WILBERFOCE, supérieur hiérarchique d’Alicja L. Zeleski (agent fédéral).


PSEUDO • Celui que tu me donneras CELEBRITE CHOISIE • Emma Stone AGE IRL •17 MULTICOMPTE • / COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM • Je le connais, that's all you need to know NIVEAU D'ACTIVITE • NIVEAU DE RP • DEBUTANT MOYEN BON TRES BON CONNAIS-TU CRIMINAL MIND• Oui, mais je ne regarde pas AS-TU UNE REMARQUE/QUESTION • Not in particular except this ; I wish a happy bday Hotch AS-TU LU LE REGLEMENT •


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MessageSujet: Re: Alicja L. Zeleski   Alicja L. Zeleski Icon_minitimeMar 28 Aoû - 16:04


• Alicja L. Zeleski •


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▌N° D'IDENTIFICATION; Vous sera donné par un admin

▌SEXE; féminin masculin
▌NOM; Zeleski
▌PRENOM(S); Alicja, Liadan, Airikah
▌ÂGE; 31 ans
▌DATE; 23.12.1980 ; 05:09 pm
▌LIEU; Łódź (Łódź) ; Pologne
▌NATIONALITE; Polonaise et Américaine d'origines irlandaise et norvégienne
▌STATUT CIVIL; Célibataire
▌EMPLOI; Agent fédéral au Bureau Federal of Investigation de Washington DC (anciennement hacker pour une entreprise classée top-secret ; serveuse dans un bar dans les quartiers défavorisés de Washington DC ; critique littéraire pour un journal local).
▌ETUDE(S); Etudes de Lettres ; Faculté de Journalisme et de Criminologie. Elle a également suivit des cours par correspondance de médecine légale, droit, psychologie.
▌VILLE; Washingtion DC (MD)
▌CELEBRITE; Patricia Rooney Mara

▌STATUT Free Reserved Taken



What's his/her story ?

● Rencontre + lien avec Edward en cours (Ils se connaissent depuis le bac à sable, ils ont décidé, du jour au lendemain, qu'ils seraient rivaux sur tous les sujets. Mais tous les sujets. Quand l'un aimait les sciences, l'autre préférait la littérature etc... C'est comme ça que Alicja s'est engagé dans la police et qu'Edward a naturellement viré psychopathe. Malgré tout, le lien qui les unie est unique. Parce qu'il y a une tension sexuelle entre eux qui fait qu'ils ont déjà couché ensemble, Edward s'enfuit toujours juste après. Alicja l'a arrêté une fois comme ça. Il la soupçonne de le laisser fuir exprès mais elle nie tout puisqu'elle lui court après.)
● Alicja est née en Pologne. A peine l'accouchement était-il terminé qu'il se mettait à neiger, pour ses parents, ce fut la petite touche d'un bonheur immense. Mais ce bonheur fut de courte durée. Effectivement, sa mère, Wilma Tess Dabrowski a été diagnosiquée comme étant atteinte de la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Alicja n'était qu'une enfant qui n'avait pas encore trois ans lorsque les déficit cognitifs de Wilma s'amplifièrent jusqu'à ce que son père, Hassan Murtagh Zeleski demande de le divorce. A cinq ans, Alicja était emmenée par son père jusqu'au Canada. La violence du départ l'a beaucoup traumatisée, provoquant chez l'enfant un déficit des hormones de croissance (ce qui explique son petit mètre cinquante-sept).
● Hassan a sombré dans l'alcoolisme suite au divorce bien que ce soit lui qui le demandait. Il aimait son épouse plus que tout au monde mais ne supportait pas la voir dans un tel état. Etant patron d'une très grande entreprise en Pologne, Hassan a put s'assurer que Wilma était entre de bonnes mains et ait les soins nécessaires. De même, il a veillé sur Alicja et lui a légué toute sa fortune, ce qui revient à des milliards de dollars. Mais la jeune fille n'avait pas accès à ce compte en banque tant qu'elle n'était pas majeur ; jusque là, c'était son père qui subvenait à ses besoins et à ses désirs entre deux bouteilles d'alcool vides.
● Un soir, alors qu'Alicja rentrait de la bibliothèque, accompagnée par Edward après d'intenses révisions pour des examens, elle a retrouvé leur immense villa en feu, avec un périmètre de sécurité mis en place par les autorités locales et les pompiers. Selon la police, l'incendie était accidentel. Alicja a longtemps soupçonné Edward d'en être la cause ─ le jeune homme n'appréciait que moyennement le père de la jeune fille et a longtemps pensé qu'il la battait ─ mais elle n'a jamais sut si ses doutes étaient fondés ou non. Suite à l'incendie, Alicja et Edward ont décidé d'aller aux Etats-Unis et leurs chemins se sont séparés à ce moment-là, l'un entrant dans l'Ecole de police, l'autre, au contraire, commençant à tourner dans des milieux sombres.
● Il est possible de lui donner des ambitions dans le domaine de la justice. Alicja peut, par exemple, avoir envie de se spécialiser dans un second domaine afin de voir sa carrière évoluer ; elle peut, par exemple, essayer de devenir profiler ou agent de la SWAT. Mais il ne faut pas oublier que sa principale spécialisation est l'infiltration et elle ne l'abandonnerait pour rien au monde. Pouvoir se déguiser, c'est ce qu'elle préfère.
● Elle possède une Honda CB350 noire qu'elle conduit d'autant plus souvent que sa Chrysler Lebaron pour la simple et bonne raison qu'elle aime la vitesse et sentir le vent sur son visage. D'ailleurs, il n'est pas rare qu'elle reçoive des amendes pour excès de vitesse quand elle prend sa Lebaron ou sa Honda. Amendes qu'elle ne paie pas toujours, demandant souvent à ses contacts au sein de la police locale de les lui faire sauter. Et puis bon, un agent fédéral avec des contraventions, ça le fait moyen, non ?
● Elle a du passer ses examens pour devenir agent du FBI deux fois (minimum). En effet, elle n'a immédiatement réussit tous les tests ; si le test d'aptitude intellectuelle ne lui a posé aucun problème, elle a eu plus de difficulté pour le test d'aptitude physique.
● Elle écrit beaucoup et touche à tous les domaines d'écriture en passant des poèmes aux essais littéraires comme des critiques littéraires. Elle a, d'ailleurs, déjà publié un recueil de poème sous un pseudonyme (Euryphaessa ; tout autre nom d'une divinité grecque/nordique fera l'affaire) et elle travaille actuellement sur un recueil de nouvelles et un roman.


EDWARD Z. O'CALLAGHAN
ft Ryan Gosling

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I LOVE BUT I HATE YOU ★ « Il est pas beau ton château de sable » « T’as qu’à en faire un toi, si tu le trouves pas beau ». Au départ, ce n’était qu’une petite pique, prononcée avec la franchise et la naïveté qui est propre aux jeunes enfants. Un moyen d’aller vers l’autre qui avait de beaux jouets et qui était seule, dans le bac à sable. Edward avait les poches pleines de voitures volées – ou plutôt « gagnées » à l’amiable comme il aimait le prétendre à l’époque – et Alicja était, elle, tranquillement assise dans son coin. Déjà à cette époque elle était belle. Ou plutôt, mignonne comme il est normal de qualifier les enfants de quatre ans. Et puis elle était nouvelle et avait ce petit accent que le jeune garçon trouvait amusant. Ils sont vite liés. Elle, elle le trouvait gentil et plutôt mignon, faisant croire à toutes les autres filles de l’école qu’Edward était son amoureux. Quant à lui… Oh, elle ne savait pas vraiment ce qu’il pensait, mais ce n’était pas le plus important.

« Pff, tu ne sais pas c’qui c’est bon toi. Les sciences, ça, c’est bien ! » « Fais-moi rire ! L’art permet de se libérer et de se poser des questions sur l’existence. Ta science elle fait quoi, hein ?! » « Oh, écoutez-la, elle joue les philosophes avant l’heure. » C’était comme un accord tacite entre eux. Ils ne l’avaient jamais réellement prononcé, mais ils se comprenaient. Ils n’avaient pas le droit d’être d’accord sur un sujet. Ils avaient déjà tenté l’expérience et leur relation leur avait paru d’une simplicité effrayante. Dès lors, ils se forçaient à avoir des avis différents, enclenchant ainsi diverses disputes. Mais s’ils partaient séparés, c’était pour mieux se retrouver, le lendemain matin. Ils avaient l’impression que leur relation n’en était que plus fusionnelle à chaque fois. En réalité, ils ne savaient pas si cela était réellement dû au fait qu’ils soient en perpétuel désaccord, mais leur situation leur convenait comme elle était alors ils n’allaient pas chercher plus loin. Et puis cela ne les empêchait pas de s’entendre, d’une façon générale. Les autres les regardaient d’ailleurs d’un air suspect, soufflant quelques rumeurs absurdes sur leur sujet. Certains pensaient qu’ils étaient amants et feignaient de se disputer pour attirer l’attention et la jalousie des autres. D’autres prétendaient encore qu’ils étaient en réalité frères et sœurs et pratiquaient l’inceste. Alicja et Edward n’avaient que faire des qu’en dira-t-on. Ils étaient amis. Meilleurs amis.

« Dis-moi que ce n’est pas toi qui a mis le feu à la villa de mon père ! » « » « Edward, réponds-moi ! » Il ne répondit pas, conserva le silence, le regard sombre. « Espèce d’enfoiré ! Pourquoi t’as fais ça, hein ?! Réponds-moi ! Tu croyais vraiment qu’il me battait ?! Mais t’es vraiment qu’un pauvre type ! Casse-toi ! Je ne veux plus te voir. T’as compris ?! Casse-toi ! » Mais il ne parti pas. Il ne fit même pas mine de vouloir tourner les talons alors elle fondit sur lui et martela son torse de violents coups de poing. Et puis elle s’était calmée, ses cris avaient cessé, les larmes avaient séché. Il l’avait alors enlacé, lentement. Cette nuit-là avait été la première fois qu’ils affirmèrent les rumeurs. Ils se lièrent charnellement et pourtant, tous deux eurent l’impression que ce n’était pas la première fois. « Viens, on se casse aux Etats-Unis. » Ce n’était pas tellement une demande. Et même si ça l’avait été, Alicja l’aurait suivit, aveuglément. Ils franchirent la frontière, rejoignirent la capitale politique de cette puissance mondiale. Ce fut le début de la fin.

« Lève les mains et tourne-toi lentement ! Et ne me fais pas répéter je déte… » « Tu détestes te répéter, je le sais bien, ‘Licha. Ou dois-je t’appeler agent spécial Zeleski maintenant ? » « Edward ? » Elle en avait eu le souffle coupé. Edward était en face d’elle, au-dessus d’un corps inanimé, l’arme du crime à la main. Il lui fit face. Lentement. Elle accusa le coup. Difficilement. Sous l’effet de surprise elle n’eut même pas de larmes. Juste un hoquet. Lui était impassible. Elle n’aurait sut dire s’il était surpris ou heureux de la revoir. Elle ne parvenait même pas à déglutir, avait abaissé son arme sans le voir. Ils s’affrontèrent du regard. Peut-être une petite poignée de minutes, peut-être d’interminables secondes. Il y eut du mouvement à l’étage du dessous et Edward s’éclipsa. L’arme du crime en main, sans qu’Alicja n’ait eu le temps de comprendre la scène qui s’était déroulée. Ses collègues l’interrogèrent mais elle n’avait aucune réponse à leur fournir. Alors elle quitta les lieux, à son tour, du baume au cœur. Le soir-même, elle allait rejoindre son ami d’enfance dans un bar des bas quartiers de Washington DC. Là encore, ils conclurent une sorte d’accord silencieux. En quoi il consiste ? Eux-mêmes l’ignorent. Mais Alicja s’est promis intérieurement de le boucler, de le foutre derrière les barreaux.

« C’est fini Edward. Tu ne peux pas t’échapper, cette fois-ci. » « Comme toutes les fois précédentes, et pourtant, tu ne m’as jamais arrêté. » Elle ne broncha pas alors qu’il s’approchait à pas feutrés. Ferma doucement les yeux lorsqu’il tendit la main et caressait sa joue du bout des doigts. « Laisse-moi fuir. A last time… » Elle entr’ouvrit la bouche, profitant du contact de leur deux peaux. Il se pencha en avant comme pour l’embrasser. La manipuler avant de la quitter comme il l’avait si souvent fait. Leurs lèvres se joignaient lorsqu’un « clic » retentit dans la pièce. Peu surpris, Edward se contenta de baisser la tête, soufflant sur les paupières toujours closes de l’agent fédéral. « Bien joué, ‘Licha ». Elle ne répondit pas, ouvrit simplement les yeux et referma la seconde menotte sur son poignet alors que les renforts accourraient. Deux policiers l’emmenaient et elle le regarda s’éloigner, le cœur lourd.
PRENOM(S) P. NOM
ft nom de l'avatar

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LIEN ★ Description du lien ; raconte tout ce qui est arrivé aux deux personnages. Leur rencontre, leur relation, tout ce qu'ils ont put vivre. Alleeeeez, c'est pas difficile... Si ? Il faut bien savoir si vos personnages s'entendront bien, ou non. Description du lien ; raconte tout ce qui est arrivé aux deux personnages. Leur rencontre, leur relation, tout ce qu'ils ont put vivre. Alleeeeez, c'est pas difficile... Si ? Il faut bien savoir si vos personnages s'entendront bien, ou non. Description du lien ; raconte tout ce qui est arrivé aux deux personnages. Leur rencontre, leur relation, tout ce qu'ils ont put vivre. Alleeeeez, c'est pas difficile... Si ? Il faut bien savoir si vos personnages s'entendront bien, ou non. Description du lien ; raconte tout ce qui est arrivé aux deux personnages. Leur rencontre, leur relation, tout ce qu'ils ont put vivre. Alleeeeez, c'est pas difficile... Si ? Il faut bien savoir si vos personnages s'entendront bien, ou non.
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MessageSujet: Re: Alicja L. Zeleski   Alicja L. Zeleski Icon_minitimeMar 28 Aoû - 16:05

Général


D'où vous vient l'idée de votre personnage ?
Réponse : Je regardais la trilogie des Hannibal Lecter avec ma meilleure amie lorsque j'ai eu l'envie subite de créer un duo qui aurait plus ou moins une relation équivalente à celle de Clarice Starling et Hannibal car je trouve cette relation vraiment intéressante. Et elle doit l'être encore plus si on la joue. Au fur et à mesure, je me suis penchée sur un tel duo... Et avec un petit mélange de Millénium, voilà comme ma petite Alicja est venue au monde. Enfin... Presque.
Vous aviez réfléchi longtemps avant de le créer ?
Réponse : Non pas vraiment... Vous savez, dès que j'ai une idée de personnage, en général, je la note et je fais au moins sa fiche de présentation. Histoire de l'avoir au chaud, quelque part. Et au cas où je veuille le/la développer pour faire un roman... Résultat, j'avais déjà quelques bases lorsque j'ai commencé à vraiment me dire que je voulais la faire. Je voulais faire un personnage que je ne pouvais pas abandonner dans l'immédiat comme je l'ai si souvent fait...
Est-ce votre premier personnage de RPG ?
Réponse : Non. J'écris beaucoup, donc, bien sûr, j'ai déjà inventé des personnages juste pour mon plaisir. Après, je suis actuellement sur des forums RPG avec un personnage de la série et un autre que j'ai inventé. Et puis j'ai été sur Criminal Minds RPG donc non, ce n'est définitivement pas mon premier personnage RPG.
Si non, ce personnage a-t-il des points communs avec d'autres perso's que vous avez créés ?
Réponse : Hm... En général, ils ont tous le point commun de détester leur père ou de ne pas le connaître. De même, Alicja est une agent du FBI, comme il m'arrive si souvent de le faire - je crois que j'ai une obsession avec les agents fédéraux, am I crazy ? Et puis Alicja est spécialisée dans les missions d'infiltration. Mais ça, c'est parce que j'aime me déguiser. Hm... Comme souvent pour mes personnages féminins, Alicja est d'origine irlandaise et polonaise. Au niveau du caractère, elle est... Spéciale, comme un peu tous les autres, en fait. Elle est aussi accro au café, comme tous mes personnages et plus spécialement les agents du FBI. Allez savoir pourquoi j'ai une fascination pour cette boisson...
Vous ressemble-t-il d'un point de vue physique et/ou moral ?
Réponse : Je dirai que non. Du moins, pas du tout sur le plan du physique - si j'avais ne serait-ce qu'un centième du physique d'Emma Stone, je serai la personne la plus heureuse du monde. Quant au moral... Non, pas que je sache, en tout cas.
Aimez-vous ce personnage, au point de vouloir lui ressembler ? (Dans sa manière d'être, sa manière d'agir ...)
Réponse : Question difficile... Après mûre réflexion, je dirai que non. Elle n'a rien de vraiment enviable, le physique mis à part, dans son caractère. Je me suis efforcé de la faire humaine, avec des forces et des faiblesses ; et personne n'a envie de ressembler à un modèle aussi imparfait que l'est Alicja.
Dans quel but l'avez-vous créé ? (Si but, il y a ...)
Réponse : La première réponse que je vous donnerai, c'est que c'était pour l'anniversaire d'Aaron. Cela faisait depuis début Août que je réfléchissais à ce personnage, après avoir vu Hannibal, afin de revenir pour lui faire une surprise. Après, peut-être que c'est parce que vous me manquiez, les cocos... Mais ne vous emballez pas, hein !
Seriez-vous prêt à le laisser se faire tuer, à un moment donné, in RP ?
Réponse : Oui. C'est dit... Ca y est... Je pense que je suis toujours prête à laisser mes personnages mourir, ne serait-ce que pour voir les réactions, et pour exploiter encore plus les personnages avec qui ils ont un lien fort - en l'occurrence ici, ce serait Edward. Mais il faut savoir que si je fais mourir Alicja ce sera tout réfléchi, et il y a de forte chance pour qu'elle entraîne au moins une autre personne avec elle. Et ce sera sans doute un sacrifice. Bref. Et puis je reviendrai vous hanter en créant another character. Parce qu'il me faudra combler le vide.

Autre


Quel est son plus grand rêve ?
Réponse : Er... Good question. I've absolutly not idea. Un rêve impossible à réaliser, sans aucun doute. A bien y réfléchir, je pense qu'elle souhaiterait vraiment pouvoir retourner dans le passé. Elle aimerait que sa mère ne soit pas malade, que son père ne soit pas décédé et que sa relation avec Edward soit différente. Qu'il ne soit pas devenu un criminel. Que tout redevienne comme avant.
Quel est son plus grand cauchemar ?
Réponse : . Perdre Edward. Il est la dernière chose qu'il lui reste, la personne qui compte le plus à ses yeux, malgré le chemin qu'il a décidé de prendre.
A-t-il peur de quelque chose, en particulier ?
Réponse : Que son monde s'effondre. Elle a parfois l'impression de ne pas vivre dans le même univers que tout le monde ; mais elle aime son palais mental dans lequel elle se réfugie souvent. S'il advenait à disparaître, elle aurait peur d'oublier son père, sa mère et d'avoir imaginé Edward.
Le considérez-vous comme faible ou solide, question santé ?
Réponse :. Santé physique ? Bah, dans la moyenne quoi. Un rhume en hiver, des allergies en printemps. Parfois elle a une bonne vieille grippe... Mais voilà, tout s'arrête ici. En revanche, santé mentale... Elle espère que oui. Mais la maladie dont sa mère est atteinte est héréditaire ; il est donc possible qu'elle perde la tête d'un instant à l'autre... Mais sinon, elle est solide. Bien que très affectée par son passé tumultueux.
De quel groupe sanguin est-il ?
Réponse : Quelle importance ? Elle n'a jamais vraiment fait de test sanguin, vous savez... Au pire, allez demander à notre chirurgien préféré, il devrait le connaitre, lui... Et sinon, au hasard, elle est A positif.
Quel est son plat préféré ?
Réponse :. Les endives au jambon, préparés par Hassan. Sinon, elle ne cache pas être très gourmande et raffoler de bonbons en tout genre.
Quels sont ses loisirs ?
Réponse : L'écriture. Très probablement son unique véritable passion depuis des années. Elle travaille d'ailleurs sur un roman policier et sur un receuil de poèmes. Et sinon, elle aime se déguiser, d'où sa spécialisation. Surprenant, hein ?
Quel est son trait de caractère, le plus dominant ?
Réponse : Question très difficile... Je ne sais pas trop. Je suis mitigée entre plusieurs traits de son caractère en fait... Bon, puisqu'il faut répondre, je dirai... Hm... Son impassibilité apparente. Elle ne montre pas facilement ses sentiments, et même lorsqu'elle le fait, il est très dur de voir si elle joue un jeu ou non... Tout semble être un rôle pour elle.
À quel chanson ou thème l'associerez-vous ?
Réponse : Oulà, j'ai tout une play-list pour elle, vous la voulez ou une seule chanson vous suffira ? Honnêtement, j'hésite... Bon aller, je vais dire le thème de The Silence of the Lambs parce qu'Alicja est née grâce à ce film... Mais sinon, je trouve que Leaving Earth de la soundtrack de Mass Effect 3 ou encore le thème de Sam et Jack de Stargate SG1 lui correspondent bien...

Est-il/elle ... (Oui ou Non)


Romantique ? Pas en apparence, mais elle l'est au fond d'elle. Bien que je ne sois pas du tout une romantique dans l'âme, Alicja, elle, pense qu'on a tous une part de romance ancrée au fond de nous. Elle-même ne cache pas son envie de vivre une belle histoire d'amour digne des contes de fées...
Sérieux (se) ? Oui, très. En réalité, on a beaucoup de mal à la trouver en train de raconter une bonne blague ou riant à une plaisanterie. Mais attention, cela ne veut pas dire qu'elle ne sourit pas ! Elle s'est encore se montrer polie, la jeune demoiselle.
Dérangé(e) ? Dans quel sens ? Oh, et puis, peu importe le sens en fait... Elle l'est.
Fragile ? Oui, non... Je ne sais pas trop. J'aime à croire que non, mais je sais qu'elle le sera forcément, je me connais. Mes personnages sont toujours très fragile, psychologiquement parlant. Parce que j'aime trop explorer les méandres de leur âme et de leurs pensées et que j'aime beaucoup trop les faire sombrer plus bas que terre pour en faire des personnages fortes.
Réfléchi(e) ? J'aurai aimé dire que non, mais si. Encore une fois, tous mes personnages sont réfléchis, d'une façon générale. Parce que je n'arrive pas à faire un bourrin qui fonce tête baissée. Ils pèsent tous le pour et le contre avant de prendre une décision, ils hésitent, sont très souvent mitigés...
Capable d'aimer ? Oui, comme tout le monde sur Terre... Non ?
Loyal(e) ? Elle aime croire que oui. Mais après, tout est relatif, comme tout. Loyale envers qui ? Et puis, si on la trahit, il ne faut même plus espérer qu'elle soit loyale.
Dangereux (se) ? Dois-je vous rappeler qu'elle a constamment une arme sur elle car elle est du FBI ? Mais sinon, elle sait s'en servir hein... C'est juste qu'elle aime jouer avec...
Indépendant(e) ? Malheureusement oui. Elle a du apprendre à l'être. Mais elle ne l'est pas totalement, ce qui explique sa relation avec Edward.
Surprenant(e) ? Pas tellement non. Enfin, pas encore... Peut-être qu'elle le deviendra au fil du temps et qu'elle arrivera à me surprendre moi-même, qui sait ?
Énervant(e) ? Oh oui ! Pourtant, en elle-même, elle est juste quelqu'un de banal, mais comme elle a horreur d'être en tort, ou d'avoir tort, cela complique les choses. De même, elle est humaine. Il y aura toujours quelqu'un pour la trouver agaçante et énervante...
Facile à vivre ? Hm... Je pense que oui. Peut-être un peu trop bordelique, mais ceci mis à part, elle reste toujours dans son coin. Et puis elle rentre tellement rarement chez elle que bon... C'est comme vivre avec un fantôme, au final...
Artiste ? De la plume, oh oui ! Une véritable artiste qui touche à tout. Poème, nouvelles, romans, essais, critiques... Aucun genre d'écrit n'a pas été en revu par elle sans que ce fût un triomphe. Mais voilà, elle ne veut pas en faire sa vie, ni sa carrière... C'est d'ailleurs pour cela qu'elle utilise un pseudonyme lorsqu'elle publie quelque chose.
Sensible ? Tout dépend du sujet abordé. De son passé ? On pourrait croire que oui, mais tant que ça, finalement. En revanche, elle n'aborde pas le sujet de sa mère, ou des maladies mentales. Du moins, elle les évite au maximum.
Amoureux (se) ? Est-ce réellement de l'amour ? Elle ne saurait le dire. Mais elle est bien consciente qu'un lien particulier à Edward. Il est la seule personne pour qui elle éprouve ça, et elle n'arrive pas à mettre de nom sur ce sentiment. Amitié complexe ou amour ? Telle est la question.
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MessageSujet: Re: Alicja L. Zeleski   Alicja L. Zeleski Icon_minitimeLun 24 Sep - 11:34

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Alicja L. Zeleski

featuring Emily 'Emma' Stone


[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]« Had to be me. Someone else might have gotten it wrong. . »
FEAT: Emma Stone;

SEXE: Féminin Masculin
NOM: Zeleski
PRENOM(S): Alicja, Liadan, Airikah, Morrigan
ÂGE: 29 ans
DATE: 23.12.1983
LIEU: Łódź (Łódź) ; Pologne
NATIONALITE(S): Polonaise et Américaine d'origine Irlandaise et Norvégienne
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EMPLOI: Agent fédéral au Bureau Fédéral d'Investigation, bureau de Washington DC
SANG: B négatif



tell me ur story •
« Alicja ? La fille de Wilma et Hassan ? Oui, je me souviens d’elle. Ils habitaient au bout du quartier. Oh, c’était une belle histoire que la sienne. Je connaissais ses parents depuis quelques années ; je les avais rencontrés lors d’une soirée mondaine et j’avais su gagner leur sympathie. Des gens charmants si vous voulez mon avis, mais ils étaient connus pour être des marginaux. Je ne sais plus trop de quel milieu Wilma était originaire, mais il me semble qu’elle était polonaise de naissance. Mais sans doute pas l’héritière d’une longue lignée. Lui, par contre, était un artiste bohème. En réalité, on aurait presque pu croire qu’il sortait tout droit d’un roman d’Emile Zola. Cela ne faisait aucun doute qu’il était très doué ; il peignait d’ailleurs admirablement bien mais il n’avait pas connu le succès espéré en Norvège… Alors il a migré en Pologne. Les premières années, il s’est de nouveau heurté à un mur lorsqu’il voulait exposer ses tableaux… Je lui ai souvent proposé de lui en acheter quelques uns, mais il refusait catégoriquement à chaque fois. De toute façon, Wilma et son petit travail de caissière semblait subvenir à leurs besoins. Et puis il y a eu cette grossesse. Je ne sais pas si elle était désirée – mais je ne pense pas. Hassan a alors monté une entreprise d’import-export qui a étonnamment bien fonctionné. Maintenant que j’y repense, je crois me souvenir que sa famille avait plusieurs entreprises en Norvège, déjà. Cette réussite professionnelle leur a permis de vivre dans de meilleures conditions et d’élever leur fille. Elle est née en décembre il me semble. Un jour où il a sacrément neigé, d’ailleurs ! Ils formaient une parfaite petite famille. Alicja avait déjà un sacré caractère. Elle courrait toujours de partout depuis qu’elle savait se tenir sur ses jambes. Une vraie petite pile électrique ! Mais qu’est-ce qu’elle était mignonne, un ange. (…) Et puis un jour on les a moins vus. Ni Hassan, ni Wilma. Je crois qu’elle était malade – je n’ai appris que bien plus tard qu’elle était atteinte de la maladie de Creutzfeldt-Jakob – et cela les a anéanti. Hassan a demandé le divorce, ne supportant pas de voir son épouse dans un tel état et a fait placer Wilma dans un centre où on s’occuperait bien d’elle. Un an plus tard, Alicja et son père déménageaient je-ne-sais-où… C’est plutôt triste non ? Mais je trouve cela tellement beau… »
─ AGNIESZKA JEDRYCH, ancienne voisine des Zeleski (retraîtée).

« Zeleski ? C’était pas le genre de fille avec qui j’aimais traîner. A vrai dire, personne n’aimerait traîner avec elle, à part c’timbré d’O’Callaghan. Elle était vraiment… Space comme fille. Mais pas vraiment dans le bon sens. Y a des spaces cool… Et y a les autres. Bah elle, elle faisait plus partie de la deuxième catégorie. D’jà, elle avait c’t’accent étrange d’Europe. Je crois qu’elle a débarqué au Canada quand elle avait quatre ans, par-là. On était dans la même école. Elle était toujours toute seule, dans son coin, à jouer avec ses poupées. Et puis O’Callaghan est allé la voir et ils ne se sont plus lâchés d’une semelle après ça. Mais vraiment plus, hein ! Alors au départ, on s’en foutait, on était tous un peu des gosses, vous comprenez. Puis quand on a eu vers douze ans, ça semblait vraiment bizarre. Ils étaient toujours fourré l’un avec l’autre. Y en a qui disaient qu’ils étaient demi-frère et sœur, d’autres qu’ils avaient fait des choses ensembles. Perso, je ne sais plus vraiment ce que je pensais… Sans doute qu’ils étaient deux attardés. Enfin bref. Y avait pas mal de rumeurs sur Zeleski. Faut dire qu’elle savait faire parler d’elle, hein. (…) Il paraîtrait même que sa mère était folle à liée et que son père l’a fait enfermé. Pour ça qu’ils ont débarqué ici. Zeleski fille a eu un problème, je crois que les médecins appellent ça un déficit des hormones de croissance, un truc du genre quoi. En gros, elle est très petite. Ca n’a pas toujours été facile en cours à cause de ça. Enfin, vous connaissez l’intelligence des adolescents, j’suppose, non ? (…) Y avait une fille, Elena Di Meglia qui vivait pas loin de chez Zeleski. Elle nous racontait que son père faisait la tournée des bars tous les soirs et qu’il battait sa fille. Zeleski niait tout. Moi je crois que c’était pour attirer l’attention qu’elle faisait croire que rien n’était vrai. Tss. Une vraie garce cette fille-là. Un jour, je me suis proposé pour l’accompagné au bal de promo. Elle m’a balancé son poing dans la figure et le soir-même, O’Callaghan me menaçait. J’vous dis, y avait un truc louche entre les deux… »
─ JEFFREY HENDERSEN, ancien camarade de classe d’Alicja Zeleski (étudiant en médecine).

« Hm. Ce dossier remonte à plusieurs années maintenant, vous savez… Pourquoi tenez-vous tant à le voir ? Ha ! Le voilà, le petit malin s’était glissé entre le X et le Y. Encore un bleu qui a dû se tromper. Ah, je vous jure ! Ces nouveaux ne sont plus ce qu’ils étaient avant. Enfin… Ca date de deux mille un. Quelques jours après les tours jumelles, d’ailleurs. C’est sûrement pour ça que l’accident est passé inaperçu. Oui parce qu’il était clair, à l’époque – bien que mon opinion à ce sujet n’a guère changé aujourd’hui – qu’il s’agissait d’un accident et de rien d’autre. Les incendies criminels sont rares ici, vous savez. Et personne n’avait de raison apparente de vouloir brûler Hassan Zeleski chez lui… Je me souviendrai toujours de cette affaire. La plus courte de toute ma carrière. En une semaine elle était bouclée, ce qui n’était pas au goût de la fille du défunt. Ali… Ali… Ali quelque chose il me semble qu’elle s’appelle. Nous étions sur place bien avant qu’elle n’arrive. Elle était avec un ami, un certain O’Callawan. Ou O’Sullivan. Enfin, quelque chose dans le genre, quoi. (…) Elle a été anéantie. A peine avait-elle vu le feu qu’elle accusait son ami d’être l’incendiaire. Elle hurlait. On aurait dit une possédée.

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MessageSujet: Re: Alicja L. Zeleski   Alicja L. Zeleski Icon_minitimeMer 3 Oct - 12:09

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OTTER & ZELESKI
❝ Beyond the night, a rising sun, beyond the night, the battle won. The battle won. Fear and shame now in the past, pain and sorrow gone at last. Gone at last ❞ LUTTRELL © LJ


    Il était encore tôt. A vrai dire, le soleil n’était pas levé depuis plus d’une heure que, déjà, Alicja arrivait à la prison fédérale. Elle ne venait pas souvent, mais lorsqu’elle prenait la peine de se déplacer, c’était toujours très tôt. Il n’y avait pas de raison particulière à cela, à part peut-être le fait qu’elle avait l’impression de passer inaperçue. Illusion. Simple illusion. Mais qui la confortait dans son esprit et dans sa façon de penser qu’elle avait encore un peu le contrôle sur elle, sur ses sentiments. Avait-elle encore réellement le contrôle ? Elle l’ignorait. Sans doute pas, non. Elle l’avait perdu il y avait quelques années de cela ; lorsqu’Edward et elle avaient emprunté des chemins divergents. Et encore. L’avait-elle déjà eu ? Avait-elle déjà contrôlé autre chose que des objets dans ses mains ? Avait-elle déjà eu le loisir de manipuler son esprit et celui des autres avec presqu’autant de facilité qu’ont les psychologues ou les profilers ? Probablement pas. Tout lui avait échappé dès sa naissance. Ou quelques mois après. La maladie de sa mère, le divorce de ses parents, le départ au Canada… Même sa rencontre avec Edward n’avait pas été contrôlée. Elle n’avait même pas pu prétendre avoir une once de contrôle et de maintien dans leur relation. Dès le début, il y avait eu ce petit plus qui les différenciait tant. Ce petit truc qui les rendait si proches mais si éloignés à la fois. Elle n’avait jamais réellement et clairement sut où leur relation les menait. Elle s’était perdue dans les ténèbres avec lui, mais gardait une partie de son âme à la lumière du jour. Elle était mi-ange, mi-démon. Mi-douce, mi-violente. Mi-Dieu, mi-Diable. Mi-elle, mi-lui. Elle avait pensé qu’il en était de même pour Edward. Elle s’était plantée, en beauté. Pourtant, son instinct ne la trompait que rarement. Ses collègues disaient même d’elle qu’elle avait un « instinct animal » et qu’elle agissait parfois comme un « lion » ou un « tigre ». Elle se fiait à sa première impression ; n’allait pas chercher plus loin. Elle ne changeait que très rarement d’opinion. Certains la décrivaient d’ailleurs comme étant fermée d’esprit. Elle ? Elle préférait dire qu’elle savait faire la différence entre les valeurs sûres et le reste.

    Arrivée à la prison, elle montra son badge au gardien qu’elle salua d’un signe de tête. Lorsqu’il lui demanda de vider son chargeur devant lui, elle en profita même pour prendre de ses nouvelles, usant de son prénom. L’homme, plus vieux qu’elle d’une bonne vingtaine d’années, lui répondit, un large sourire sur les lèvres. Il n’eut pas à lui retourner la question. Il savait que la jeune femme n’aimait pas venir en ces lieux, tout comme il savait qu’elle s’en sentait obligée. Les premiers jours, il l’avait vu, nerveuse, jouant avec ses doigts, se rongeant l’ongle, cafouillant, faisant demi-tour dès qu’elle s’approchait de lui. Il l’avait rassurée, tendue une main, aidé à appréhender ce qu’elle semblait tant craindre. Il l’avait interrogé, avec douceur. Sans la brusquer. Il n’avait pas tout compris à son histoire ; n’avait pas saisi pourquoi elle avait besoin de venir voir un détenu, mais n’avait pas essayé de l’en dissuader. Il l’avait accompagné jusqu’au bout. Il l’avait vu prendre confiance en elle à mesure qu’elle venait rendre visite au détenu six centre trente-neuf. Mais c’était tout ce qu’elle savait d’elle. Il fallait bien admettre que l’agent fédéral n’était pas du genre bavard. Il n’était pas exceptionnel qu’elle reste silencieuse, ne le saluant que par un geste de la main ou, lorsqu’elle n’était pas vraiment d’humeur à la discussion, par un simple regard lancé en biais.

    Alicja s’était arrêtée devant la cellule. Il était allongé sur sa couche, les mains sous la nuque, les yeux clos. Il faisait sombre mais elle le distinguait très nettement. Comme à chaque fois qu’elle venait lui rendre visite, son estomac se contracta. Comme à chaque fois qu’elle venait lui rendre visite, il resta dans cette position. Seul un horrible rictus moqueur apparut sur son visage. Elle resta droite, les bras collés le long du corps, le souffle long et régulier. Comme à chaque fois qu’elle venait lui rendre visite, elle attendit qu’il prenne la parole. Elle aurait presque pu croire qu’il se reposait, si elle observait la façon qu’avait son diagramme de se soulever et de s’abaisser, mais elle n’était pas sans savoir que ce n’était qu’une de ses ruses. Exactement comme elle était certaine qu’il l’avait entendu arrivée et qu’il l’avait reconnue. Il avait un odorat ultra développé ainsi qu’une ouïe très fine. De longues minutes s’écoulèrent sans qu’aucun d’eux n’esquisse le moindre mouvement. Et puis, alors qu’Alicja commençait à se dire qu’une chaise en face de cette cellule serait la bienvenue, il l’appela. Par ce surnom usé de lui seul. Par ce surnom qu’elle s’était mise à haïr. Par ce surnom qui faisait de lui un être privilégié. « Licha ». Elle ne répondit d’abord rien, savourant les quelques secondes de silence et de répit qu’il lui restait avant qu’elle ne sombre totalement dans l’abysse de son ton si suave et si rauque.
    « Tu n’as pas encore changé de parfum, cela m’étonne, tiens. Je me souviens, quand nous étions adolescents, tu ne pouvais pas porter le même parfum deux mois de suite…
    Je n’ai pas encore eu le temps d’aller m’en acheter un autre.
    Moi je pense qu’en réalité, tu fais exprès de toujours mettre ce parfum-là. Tu as réellement pensé que je ne m’en souviendrai pas ? »
    Elle conserva le silence. A quoi bon prendre cette peine lorsque votre interlocuteur a parfaitement raison ? Oui, elle avait eu l’idée folle qu’il ne se souviendrait pas du parfum qu’il lui avait offert, peu de temps avant l’incendie qui ravagea sa maison. Mais il était également vrai qu’elle avait bien espéré, au fond d’elle-même, qu’il ne l’aurait pas oublié. Ce parfum, dans son flacon en forme de flamme, à la couleur rouge-orangé, elle avait tout bonnement flashé dessus un jour qu’ils étaient allés au Centre Commercial. Elle était restée près d’une heure devant la vitrine, à lorgner sur l’étiquette qui indiquait son prix. Edward était resté impassible, à ses côtés, cherchant sans doute à comprendre l’intérêt des filles pour un flacon de parfum en particulier alors qu’elles en ont déjà des dizaines sur leurs étagères, chez elle. Il n’avait pas prononcé un mot jusqu’à ce que la jeune fille finisse pas se détourner de l’objet de ses convoitises. Deux mois plus tard, sans occasion particulière, Alicja retrouvait, sur le palier de sa chambre, un paquet cadeau dans les tons de rouge-orangé. Et lorsqu’elle avait défait le nœud de satin noir, elle n’avait été qu’en partie surprise d’y trouver, logé bien à l’abri dans du coton, le flacon de parfum. Des étoiles plein les yeux, elle n’avait pas hésité un seul instant sur l’identité de la personne qui lui avait offert ce présent. Depuis, elle le portait assez régulièrement, en de grandes occasions. Elle regrettait d’ailleurs de ne pas l’avoir porté la nuit du drame. La nuit où leur relation avait littéralement basculé. La nuit où elle avait peut-être pris conscience qu’une part des rumeurs qui courraient sur eux étaient vraies.
    « T’aurais-je mangé la lange, Licha ? Oh grand dieu, j’espère bien que non ! J’aime tellement nos conversations.
    donc de te prendre pour un sophiste, Edward. Ce petit manège n’a plus d’effet sur moi.
    Oh, vraiment ? Quel dommage… »
    Il s’était levé et approché des barreaux. Machinalement, Alicja avait de même. Seuls les barreaux de la cellule les séparaient. Elle se tenait toujours très droite tandis que lui avait délicieusement enroulé ses longs doigts autour des barreaux. La jeune femme se savait en train de faiblir. Elle savait qu’elle ne pourrait plus résister très longtemps. Et, comme à chaque fois qu’elle venait lui rendre visite, elle regretta cette décision prise un peu trop tôt. Il nota son silence, en profita. Comme à chaque fois qu’elle venait lui rendre visite. Il la défia des yeux. La défiait d’approcher. La défiait de le toucher. Elle obéit, impuissante devant son regard de braise. Faible sous ce regard chaud et familier. Fragile face à cet être tant aimé. Elle sentait son souffle sur le sien, elle lisait ses pensées dans ses yeux clairs. Elle posa délicatement ses doigts sur les mains d’Edward, approcha son visage du sien. Elle ferma les yeux un court instant, se mordit la lèvre inférieure. Elle ne devait pas céder. « Prosze, ‘Licha… » Elle le détestait. Oh oui. Elle haïssait lorsqu’il se jouait d’elle de cette manière. Elle devenait alors tellement vulnérable. Incapable de résister. Il lui frotta le nez du bout des doigts, n’attendant pas réellement de réponse. Il plaqua son front contre les barreaux, touchant celui d’Alicja par la même occasion. Il voulut l’embrasser… Elle se recula. Soudainement, vivement. Comme si son corps avait soudain reçu un court jus. Comme si elle venait de s’apercevoir que ce qu’elle faisait était mal. Elle avait rouvert ses yeux d’ivoire ; l’observait de son air outré. Les battements de son cœur avaient à peine accéléré.
    «Tu perds ton temps Edward, ma réponse est toujours non. »
    Et sur ces paroles sèches prononcées d’un ton glacial, elle tourna les talons, traversant le long couloir morne de la prison dans le sens opposé. Elle tâchait de ne pas aller plus vite qu’en temps normal, pour ne pas montrer à Edward qu’il l’avait perturbée. Mais elle savait ceci inutile. Edward remarquait tout. Edward savait tout.

    Elle finit par se retrouver devant des portes closes. Elle voulut passer son badge mais rien ne passa. Elle fronça les sourcils, recommença. Toujours rien. Elle donna quelques coups à la vitre, essayant d’attirer l’attention de Luis, le gardien. Mais ce n’était plus Luis. Non. C’était un jeune qu’elle n’avait encore jamais vu. Elle mima tant bien mal ce qu’il lui arrivait mais le gardien ne sembla pas comprendre où elle voulait en venir. Alors elle poussa un soupire et s’improvisa mime une nouvelle fois. Sans plus de succès. De rage, elle donna un coup de pied dans la porte. Elle entendit vaguement le gardien dire quelque chose mais la porte resta close. Elle lui montra alors son badge et son passe grâce à la vitre. Encore rien. Elle continua, donnant un second coup dans la porte. Suivit d’un troisième. Elle inspira profondément. La violence ne résout rien disait le dicton. Elle lança un nouveau coup d’œil à la vitre. Luis n’était toujours pas revenu. Elle soupira, s’adossa contre la porte et se laissa tomber au sol.

    Elle détestait les prisons.
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MessageSujet: Re: Alicja L. Zeleski   Alicja L. Zeleski Icon_minitimeVen 5 Oct - 16:05

    Ce ne devait pas être son jour de chance. Il y avait des matins, comme celui-ci, où Alicja regrettait de s’être levée. Elle ne savait tout bonnement plus pourquoi elle était venue ce jour-là plus qu’un autre. N’aurait-elle pas pu se rendre à la prison le lendemain ? Ou même le mois suivant ? Voir Edward derrière les barreaux ne lui procurait aucune satisfaction particulière, après tout. Alors pourquoi diable éprouvait-elle ce besoin perturbant de venir le voir ? Aucun doute que si Edward avait été doté de dons, le charme en aurait été un. Déjà enfant, il avait ce petit air angélique qui le rendait toujours si attendrissant ; et sa « belle gueule » n’était allée qu’en s’améliorant au fil des années. Au secondaire, Alicja s’en souvenait comme si c’était la veille, son succès n’avait fait qu’accroître. Nombreuses avaient été ses prétendantes et tout aussi nombreux avaient été ses flirts. Mais il n’avait jamais connu de véritable relation. Du moins, à la connaissance de la jeune femme, donc, jusqu’à ce qu’ils prennent des voies diamétralement différentes. Mais, maintenant qu’elle y réfléchissait bien, il en était de même pour elle ; elle n’avait jamais chercher à connaître de relations sérieuses, se contentant de flirts sans lendemain, de drague qui ne menait, au final, à rien de concret. Du moment qu’elle avait eu Edward, elle s’était estimée heureuse. Et, même lorsqu’ils s’étaient perdus de vue, elle s’était montrée beaucoup trop obnubilée par ses cours et l’espoir de retrouver son meilleur ami pour prêter attention aux hommes qui l’entouraient.

    Elle releva légèrement la tête, poussant un profond soupire. Elle approchait dangereusement de la trentaine et elle ne s’apercevait que maintenant qu’elle n’avait presque rien d’accomplit de concret. Oh, il y avait son début de carrière plutôt prometteur au FBI, bien sûr, mais c’était sûrement le seul élément dont elle pouvait se vanter. Le reste de son entière existence n’était que désastre et ratés. Depuis combien de temps ne s’était-elle pas octroyé quelques jours de congé pour aller se receuillir sur la tombe de son père bien-aimé ? A quand remontait la dernière lettre envoyée à sa mère pour Noël ou son anniversaire ? Depuis quand n’avait-elle pas pris de vacances ? En avait-elle seulement déjà pris ? Depuis combien de temps n’avait-elle pas pensé à elle et n’avait-elle pas pris de bon temps ? Elle était incapable de répondre à la moindre question. Une éternité, sans doute. Elle avait pourtant l’air épanouie dans son travail… Mais les apparences ne lui suffisaient plus ; elle en avait assez de se voiler la face. Assez des faux-semblants. Elle avait vingt-huit ans, et elle allait prendre sa vie en main !

    Une excellente résolution qu’elle aurait volontiers mise en application si elle n’était pas coincée dans ce satané couloir gris, assise sur le sol mal lavé, le dos collé contre la porte froide et métallique. Elle passa machinalement une main dans ses cheveux roux, se recoiffant au passage. Elle envisageait sérieusement de s’allonger, et tant pis si elle se retrouvait avec des saletés plein les cheveux, lorsque des pas lui firent lever la tête. Un prisonnier, à en juger par ses vêtements sales qui dataient probablement de la veille, et deux gardes. Elle ne bougea pas, ne fit même pas mine de vouloir se lever. A vrai dire, même si le sol n’était pas ce qu’il y avait de plus confortable, elle était bien, assise à même le sol. Elle arqua un sourcil, mais aucun des deux gardes ne lui accorda la moindre attention. Ah oui ? Ils voulaient se la jouer machistes ? Soit ! Elle allait leur en donner, ils n’allaient pas être déçus. Ah ça non ! Alicja se redressa, croisant les bras sous sa poitrine. Puisque ces flics ratés ne daignaient pas faire attention à elle, elle n’allait pas leur facilité la tâche. Lentement, et d’une façon très puérile, la jeune femme les suivit du regard lorsqu’ils passèrent leur pass. Elle sentit la porte vibrer dans son dos, signe qu’elle se déverrouillait. Alicja ne bougea pas d’une semelle. Elle sentait sur elle le regard insistant du détenu. Elle tourna la tête, fut déstabilisée l’espace d’un instant. Ce visage… Elle l’avait déjà vu… Mais où ? Tout comme lui ne la lâchait pas des yeux, elle ne détourna pas les siens. Aucune expression n’était visible sur son visage fermé. Elle voulait juste essayer de se souvenir comment elle pouvait connaître ce visage.

    Et puis elle trouva. La réponse lui était apparue dans un flash aveuglant. Son palais mental s’était alors ouvert à elle, d’un coup ; elle avait emprunté le toboggan qui menait à la salle des dossiers. C’était ici qu’elle entreposait tous ses souvenirs liés aux enquêtes sur lesquelles elle avait travaillé. Les tiroirs s’ouvraient un à un, les dossiers, rangés par ordre alphabétique, se succédaient les uns aux autres. Un nom finit par surgir au milieu de tous les autres. Otter. Elle ouvrit le dossier, prenant place sur une chaise en plastique dur. Ses yeux parcouraient les lignes, mais sa mémoire faisait le reste. Andrew Otter, allemand, vingt-cinq ans. Arrêté en Allemagne pendant huit ans pour… Pour… Viol. Oui, c’était bien cela. Il n’avait encore atteint sa majorité qu’il était emprisonné pour viol. Il avait pourtant l’air d’être un gars plutôt gentil. Venant de la part d’une jeune femme qui fréquentait un tueur en série prolifique et considéré comme un psychopathe, c’était assez ironique. Mais bon. Elle n’avait pas enquêté elle-même, mais en avait entendu parler dans les journaux. A cette époque, elle débutait ses études de criminologie et elle avait même décidé de proposer ce cas pour un exposé sur la conscience et les criminels. Elle s’était donc beaucoup renseignée, ce qui pouvait expliquer qu’elle en sache presqu’autant que les autorités qui l’avaient arrêté. Ceci étant, elle l’avait quelque peu oublié et ne savait pas qu’il avait migré aux Etats-Unis à sa sortie de prison. Enfin, une fois sa peine épurée.

    Ce ne fut que lorsqu’il prit la parole qu’elle quitta son palais mental. Ses yeux anthracite étaient toujours posés sur le jeune homme. Elle ne réagit pas au compliment qu’il lui était adressé ; ignorant la demande des gardes de bien vouloir se lever. Une idée venait de germer dans son esprit entraîné et elle comptait bien s’en amuser avec délectation. Peut-être avait-elle trop traîné avec Edward, dans sa jeunesse, car il lui semblait que cette idée était quelque peu tordue et malsaine. Mais cela ne faisait que l’amuser d’autant plus. Oui, elle n’avait plus de doutes ; elle fréquentait un peu trop Edward. Lentement, et avec son regard de prédatrice, elle décroisa les bras, tendit une main en direction du criminel. Ce n’était pas très prudent, surtout avec son statut de violeur en série, mais elle n’en avait que faire. Fréquenter les tueurs, elle en avait l’habitude, à présent. Un de plus, un de moins, elle ne voyait plus où était la différence. Elle garda donc la main tendue vers Otter, la lui présentant comme une offrande, l’autre posée sur le sol froid. Les gardiens, armés de la même courtoisie qu’un rhinocéros affamé, lui demandèrent – ou plutôt, lui ordonnèrent – de se lever. Pour la seconde fois, elle ignora leur demande.
    « Peut-être serai-je plus à même de me lever si un jeune homme aussi charmant que poli daignait bien m’aider » siffla-t-elle, d’une voix doucereuse.
    Elle avait pris, pour le coup, un accent italien. Sans doute un vieux réflexe de ses nombreuses infiltrations qui l’obligeaient à préserver sa véritable identité secrète. Elle n’usait jamais de son vrai nom, même lors d’enquêtes officielles, même lorsqu’elle rencontrait ses supérieurs. Elle changeait d’identité comme d’apparence et avait appris à manier différentes langues pour donner plus de vraisemblance à chacun de ses personnages. Là, elle avait décidé de sortir la carte de Veronica Pazzi. Cela faisait plusieurs années qu’elle n’avait pas eu le loisir d’incarner la jolie italienne aux cheveux flamboyants et elle avait bien l’intention de se rattraper. Elle finit par se lever, réajusta son chemisier et sa veste, épousseta d’un geste rapide et décidé son pantalon. Devant l’air intrigué des gardes, elle sortit sa carte et la leur présenta. Assez longtemps pour qu’ils croient à son histoire, trop rapidement pour qu’ils n’aient le temps de vérifier son nom.
    « Veronica Pazzi, je suis l’agent de probation de monsieur Otter. J’ai été appelée dans la nuit pour me dire que mon client avait été arrêté hier soir ; comme aucune charge ne peut être retenue contre lui, je suis venue le chercher pour qu’il puisse passer son entretien d’embauche comme prévu. »
    Elle mentait avec une facilité déconcertante. Elle ne sourcillait pas, gardait son air impassible. Elle savait que son mensonge tenait la route. Elle savait qu’ils seraient obligés de la laisser passer et elle savait que personne n’irait vérifier ses dires. Elle arqua légèrement le sourcil en voyant le manque de réaction venant de leur part. Bon, elle devait prendre les choses en mains.
    « Puisque je suis ici, et que vous avez eu l’amabilité de m’amener mon client, peut-être auriez-vous à présent l’audace de nous laisser passer ? Si mon client n’a pas ce boulot par votre faute, j’irai me plaindre à votre capo, compris ?» commença-t-elle, sa voix s’élevant dans les airs et prenant un ton plus ferme et plus sec que précédemment, son fort accent italien ressortant. «Grazie» ajouta-t-elle lorsqu’ils s’écartèrent finalement, leur tenant la porte.
    Elle se tourna vers Andrew et, d’un geste de la tête, l’incita à passer en premier. Grand dieu, ce qu’elle aimait son travail et sa facilité à revêtir n’importe quelle identité !
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MessageSujet: Re: Alicja L. Zeleski   Alicja L. Zeleski Icon_minitimeVen 5 Oct - 16:46



Alicja L. Zeleski

featuring Emily 'Emma' Stone

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Papiers d'identité

FEAT; Emma Stone

NOM; Zeleski

PRÉNOM(S); Alicja, Liadan, Airikah, Morrigan

ÂGE; 9 ans

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NATIONALITE(S); Polonaise et Américaine d'origine Irlandaise et Norvégienne

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some important rules •
ⱷ Je me limite à trois RPs à la fois dont un RP d'enquête ; ceci dit, si j'ai déjà trois RPs et qu'une enquête est lancée, je ferai une exception. Il faut savoir être patient pour les réponses, je peux répondre dans la semaine comme un ou deux mois plus tard car, aussi surprenant que cela puisse paraître, j'ai une vie IRL. Ceci dit, pendant les vacances j'essaie toujours de me rattraper un maximum. Ceci étant, je prends toujours des RPs de côté.
ⱷ Si, au bout de six mois ou plus, je n'ai pas de réponses à un RP, je le mets en pause. Au bout de six autres mois, je l'abandonne avec la possibilité de le reprendre, voire de le recommencer. Je ne vous blâmerai donc pas si vous faîtes de même.
ⱷ Je fais passer les enquêtes en priorité et après, c'est dans l'ordre des réponses. Ne vous étonnez donc pas si je réponds à un autre RP avant le vôtre ou si je suis plus rapide avec les enquêtes ; ces dernières sont plus importantes pour la vie du forum.
ⱷ Je ne crains aucun type de RP que ce soit violent, gore comme sexuel. Il suffit juste de me prévenir avant et de me donner un contexte. De même, je préfère toujours avoir une idée de contexte avant de lancer un RP, simple question d'inspiration. Après, le RP peut largement dériver, cela ne me dérange pas.
Je fais long (environ 1 000/1 500 mots Word en moyenne) mais ne vous sentez pas obligé de me rendre ma longueur. Tout est une question d'égo pour moi et d'inspiration. Si vous m'inspirez, je peux largement faire deux pages word (police 9). Si, en revanche, mon poste ne vous inspire pas, n'hésitez pas à me le dire par MP, je le changerai sans aucun problème.




En cours
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Terminées
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MessageSujet: Re: Alicja L. Zeleski   Alicja L. Zeleski Icon_minitimeVen 5 Oct - 18:14



Enquêtes en cours

dernière mise à jour le 5.10.2012


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MessageSujet: Re: Alicja L. Zeleski   Alicja L. Zeleski Icon_minitimeMer 2 Oct - 15:06


Présentation de Zeleski, Alicja

     Zeleski, Alicja
     [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
     
 

 

     Informations sur le personnage
Nom et prénom : Zeleski, Alicja, Liadan, Airikah, Morrigan
Date de naissance : 23.12.1983
Origine : La jeune Alicja a des origines irlandaises et norvégiennes grâce à ses deux parents.
Nationalité : Alicja possède une triple nationalité de par ses divers déménagements ; née en Pologne, elle est donc polonaise grâce au lien du sol. Elle a, cependant, déménagé au Canada où elle a acquérit la nationalité Canadienne quand elle était encore une enfant. Et depuis qu'elle est aux Etats-Unis, elle a pu obtenir la nationalité Américaine.
Groupe : Force de l'ordre
Orientation : Hétérosexuelle
Célébrité sur l'avatar : Emily 'Emma' Stone


 

     Moral
                                             « Rika, chérie, arête de gigoter veux-tu ? Je n’arriverai jamais à soigner ton égratignure si ne cesses pas de te débattre ! » Mais l’enfant ne l’écoutait déjà plus. Elle esquissa un mouvement brusque, releva son coude qui alla se planter dans les côtes de Wilma Tess Dabrowski tandis que son pied venait s’écraser violemment sur celui de la jeune femme. Celle-ci lâcha l’enfant sous le choc et la gamine en profita pour s’esquiver des griffes de sa mère et du coton d’alcool qui devait désinfecter sa plaie. Elle avait deux ans et demi, bientôt trois et souffrait d’hyperactivité. Elle ne tenait tout bonnement pas en place. Il était impossible pour être de rester assise sur une chaise des heures durant ou de rester concentré sur une même activité plus de dix minutes. Même si cette activité la passionnait, au plus grand damne de ses parents, d’ailleurs. Ils étaient constamment contraints de lui courir après pour lui enfiler son tee-shirt, ou la panser. Mais l’enfant avait la vélocité d’un animal sauvage. Elle leur glissait entre les doigts, leur échappait à la moindre occasion. Parfois, elle se faisait violente pour parvenir à ses fins ce qui valait alors une bonne claque pour la remettre dans le droit chemin et un emprisonnement dans sa chambre pendant une heure. Pourtant, en temps normal, Alicja était le portrait même de la gentillesse et de la douceur. Mais il y avait cette flamme, au fond de son être, qui la faisait agir par pulsion dès qu’on lui demandait de rester calme. Très capricieuse, il lui arrivait de taper du pied lorsque ses parents insistaient et la tenait fermement par le bras pour qu’elle ne leur échappe pas.

« Miss Zeleski, ce n’est pas parce que vous avez des résultats admirables que cela vous permet de divertir la classe. » Sourire moqueur sur le bout des lèvres, Alicja se tourna vers le professeur de littérature et leva les mains en signe d’innocence. Treize ans, l’âge ingrat dit-on. C’était probablement vrai pour la jeune fille qui avait bien changé sur beaucoup de points. Déjà physiquement, mais aussi mentalement. Elle avait appris à être un peu plus calme, à rester assise lorsque la situation le lui demandait. Mais elle avait aussi appris à mentir pour se protéger, à ruser. Elle avait développé un esprit tactique – un esprit qui était apparu depuis qu’elle avait connu Edward, étrangement – pour mieux pouvoir mentir et manipuler les autres. Elle s’était aperçue qu’elle était intelligente ; pas assez pour en devenir prétentieuse, mais assez pour se rendre compte du manque de culture des autres. C’était sans doute pour cela qu’elle était plutôt du genre solitaire. Ce n’était pas qu’elle était très fermée d’esprit – bien qu’elle avouait ne pas être très ouverte sur le monde et sur les personnes qui l’entouraient lorsqu’elle les jugeait trop simples – juste qu’elle préférait rester avec Edward qui lui apprenait sans cesse des choses de la vie. Elle aimait apprendre et il était la seule personne qui semblait être capable d’assouvir sa curiosité insatiable.

« Mais qu’est-ce qui ne tourne pas rond chez toi Zeleski ?! » La jeune femme grogna, découvrant ses dents tel un chien enragé, pour toute réponse. Elle venait d’abattre son poing sur le nez d’un de ses collègues serveur qui venait de lui caresser le bras par inadvertance. Le coup était parti avant même qu’elle n’ait eu le temps de l’anticiper. L’impulsitivité dont elle faisait preuve lui valait souvent des remarques désobligeantes de la part de ceux qui l’entouraient mais c’était vraiment ce qui lui importait le moins. Elle avait vingt-ans et dormait peu. A vrai dire, elle se demandait si elle n’était pas devenue insomniaque. Même lorsque la fatigue l’accablait, elle ne parvenait pas à trouver le sommeil ce qui était assez dérangeant. Elle n’était déjà pas d’une nature patiente mais avec le manque de sommeil elle se montrait violente et agressive envers quiconque l’approchait. Si l’on rajoutait à cela le départ soudain d’Edward, dire que la jeune femme était sur les nerfs était un véritablement euphémisme. A côté de cela, elle était plus déterminée que jamais à continuer ses cours de criminologie dans l’espoir de devenir agent fédérale. Et ce, bien qu’elle ait acquise la nationalité américaine il y avait encore peu de temps.

« Il paraît qu’elle s’appelle Alicja Zeleski. Drôle de nom. D’après ce que j’ai entendu dire elle aurait abattu un homme de sang-froid dès sa première mission, vous y croyez, vous ? On ne dirait pas, pourtant. Elle ressemble tant à une petite fille… » Mais il ne faut jamais se fier aux apparences. Les rumeurs étaient toutes fausses. Elles l’avaient toujours étés, de toute façon, sinon ce n’étaient plus des rumeurs. Et Alicja ne leur accordait aucune attention. Très instinctive, elle se fiait toujours à son avis plus qu’à celui des autres. De toute façon, elle ne demandait jamais leur avis aux autres ; c’était d’ailleurs pour cela que, bien souvent, lorsque quelqu’un n’aimait pas quelque chose, elle, elle l’adorait. Un besoin d’être en désaccord avec les autres comme elle l’avait si souvent été avec Edward. C’était une habitude et comme elle n’avait plus réellement l’occasion de voir son ami d’enfance, elle se rattrapait avec le monde. Même si le monde ne valait pas Edward. Elle se savait étrange, aux yeux des autres, et elle en profitait sans s’en cacher. Elle avait construit une barrière de mystère tout autour d’elle ; dès qu’une personne avait la prétention d’affirmer la connaître elle changeait du tout au tout, voulant lui prouver le contraire. Peut-être ne prenait-elle pas la vie assez au sérieux ? Peut-être que, pour elle, la vie n’était qu’un jeu ? Oh, peu importe. Du moment qu’elle reste maîtresse d’elle-même tout lui convient. Elle passait du rire aux larmes, de la frustration à l’émerveillement. Elle jouait un rôle constant. Dès qu’une situation devenait trop délicate, sérieuse ou trop personnelle, elle revêtait son meilleur costume et allait sur scène. Mystérieuse, énigmatique, soupçonneuse et méfiante, elle l’était. Peut-être même trop. Mais elle avait été trop souvent blessée par son entourage proche. Il était hors de question pour elle de revivre une telle situation.
     

 

     Physique
                               « Elle sait attirer l’attention » ─ PHINEAS MCKAIN, ancien camarade de classe d’arithmétique d’Alicja L. Zeleski.
Et c’était un euphémisme. Elle n’était pourtant pas de ceux qui aimaient être le centre d’attention mais elle savait attirer les regards lorsqu’elle le voulait. Surtout à l’époque du secondaire. Ses cheveux, alors brun clair, et ses yeux entre le bleu royal et le gris anthracite étaient ses plus précieux atouts. Parce qu’elle n’avait jamais été très gâtée par Dame Nature et sa poitrine n’allait pas dans les excès. A cette époque, on la surnommait d’ailleurs la planche à repasser. Mais, malgré cela, Alicja avait ce don pour transformer ces quelques insuffisances en merveilleuses qualités. Ainsi, les garçons gardaient les yeux rivés sur elle. Mais attention ; uniquement lorsqu’elle le souhaitait. Et ça, qu’elle ait un sweat ou un top. Qu’elle soit en robe ou en survêtement.

« Vous connaissez cet acteur qui se déguise pour tous ses rôles ? Eh bien Alicja est son équivalent féminin. Joanna Depp, en quelque sorte… Elle peut se glisser dans n’importe quelle tenue sans que cela se voit. » ─ PATRICIA D. CEIRRA, professeur de théâtre et examinatrice d’entrée au FBI.
Elle se fondait dans la masse. Partout où elle allait. Elle avait cette étonnante capacité à changer d’apparence du tout au tout ; en une semaine, il lui arrivait de changer de couleur de cheveux à maintes reprises : passant du roux au brun, puis du brun au roux avant de devenir blonde. Le pire était sans doute que chacune de ses couleurs lui allait à ravir. Et personne ne la reconnaissait jamais. Elle n’avait pas de style particulier, pas de bijoux porte-bonheur ou de babioles familiales avec un passé glorieux. Elle se fondait dans la foule dans une rue quelconque d’une ville quelconque ; elle passait inaperçue lors d’un concert d’AC/DC ; personne n’était perturbé si elle prenait soudainement un style gothique, pas plus qu’on ne s’étonnait quand elle sortait une carte d’étudiante aux ambitions floues et incertaines. Grande adepte de déguisement, son appartement était meublé par diverses malles contenant tous les accessoires possibles et imaginables ; lentilles, chapeaux, lunettes, faux tatouages ou fausses cicatrices. Les lois du maquillage n’avaient plus aucun secret pour elle.

« Honnêtement ? Je me suis toujours demandé ce que Zeleski foutait au FBI ; il n’y a pas de place pour les pom-pom girls ici. » ─ ADRIAN HOOK, collègue d’Alicja L. Zeleski.
Il était vrai qu’avec son petit mètre cinquante-sept et ses soixante-quatre kilos toute mouillée, Alicja était loin du stéréotype de l’agent fédéral américaine. Ce qui lui convenait parfaitement, d’ailleurs ; cela lui évitait d’éveiller les soupçons lors de ses infiltrations. Mais les incessantes brimades de ses collègues quant à sa taille la blessaient bien plus qu’elle ne voulait l’avouer. Fort heureusement, les apparences sont bien souvent trompeuses ; depuis qu’elle l’avait entendu dire dans une des séries télévisées qu’elle suivait avidement, Alicja aimait se définir comme étant « petite mais coriace. » Son corps, qui n’était, en soi, pas trop vilain, avait appris à se muscler finement au fil des exercices qu’il subissait et ne craignait donc plus ses joggings quotidiens, ni ses séances d’entraînements intensives. Elle aimait son corps et elle en prenait soin ; c’était d’ailleurs ce qui lui valait le surnom de Pom-pom girl parmi ses pairs.
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     Biographie      
                                     « Alicja ? La fille de Wilma et Hassan ? Oui, je me souviens d’elle. Ils habitaient au bout du quartier. Oh, c’était une belle histoire que la sienne. Je connaissais ses parents depuis quelques années ; je les avais rencontrés lors d’une soirée mondaine et j’avais su gagner leur sympathie. Des charmants si vous voulez mon avis, mais ils étaient connus pour être des marginaux. Je ne sais plus trop de quel milieu Wilma était originaire, mais il me semble qu’elle était polonaise de naissance. Mais sans doute pas l’héritière d’une longue lignée. Lui, par contre, était un artiste bohème. En réalité, on aurait presque pu croire qu’il sortait tout droit d’un roman d’Emile Zola. Cela ne faisait aucun doute qu’il était très doué ; il peignait d’ailleurs admirable bien mais il n’avait pas connu le succès espéré en Norvège… Alors il a migré en Pologne. Les premières années, il s’est de nouveau heurté à un mur lorsqu’il voulait exposer ses peintures… Je lui ai souvent proposé de lui en acheter quelques uns, mais il refusait catégoriquement à chaque fois. De toute façon, Wilma et son petit travail de caissière semblait subvenir à leurs besoins. Et puis il y a eu cette grossesse. Je ne sais pas si elle était désirée – mais je ne pense pas. Hassan a alors monté une entreprise d’import-export qui a étonnamment bien fonctionné. Maintenant que j’y repense, je crois me souvenir que sa famille avait plusieurs entreprises en Norvège, déjà. Cette réussite professionnelle leur a permis de vivre dans de meilleures conditions et d’élever leur fille. Elle est née en décembre il me semble. Un jour où il a sacrément neigé, d’ailleurs ! Ils formaient une parfaite petite famille. Alicja avait déjà un sacré caractère. Elle courrait toujours de partout depuis qu’elle savait se tenir sur ses jambes. Une vraie petite pile électrique ! Mais qu’est-ce qu’elle était mignonne, un ange. (…) Et puis un jour on les a moins vus. Ni Hassan, ni Wilma. Je crois qu’elle était malade – je n’ai appris que bien plus tard qu’elle était atteinte de la maladie de Creutzfeldt-Jakob – et cela les a anéanti. Hassan a demandé le divorce, ne supportant pas de voir son épouse dans un tel état et a fait placer Wilma dans un centre où on s’occuperait bien d’elle. Un an plus tard, Alicja et son père déménageaient je-ne-sais-où… C’est plutôt triste non ? Mais je trouve cela tellement beau… »
─ AGNIESZKA JEDRYCH, ancienne voisine des Zeleski (retraîtée).

« Zeleski ? C’était pas le genre de fille avec qui j’aimais traîner. A vrai dire, personne n’aimerait traîner avec elle, à part c’timbré d’O’Callaghan. Elle était vraiment… Space comme fille. Mais pas vraiment dans le bon sens. Y a des spaces cool… Et y a les autres. Bah elle, elle faisait plus partie de la deuxième catégorie. D’jà, elle avait c’t’accent étrange d’Europe. Je crois qu’elle a débarqué au Canada quand elle avait quatre ans, par-là. On était dans la même école. Elle était toujours toute seule, dans son coin, à jouer avec ses poupées. Et puis O’Callaghan est allé la voir et ils ne se sont plus lâchés d’une semelle après ça. Mais vraiment plus, hein ! Alors au départ, on s’en foutait, on était tous un peu des gosses, vous comprenez. Puis quand on a eu vers douze ans, ça semblait vraiment bizarre. Ils étaient toujours fourré l’un avec l’autre. Y en a qui disaient qu’ils étaient demi-frère et sœur, d’autres qu’ils avaient fait des choses ensembles. Perso, je ne sais plus vraiment ce que je pensais… Sans doute qu’ils étaient deux attardés. Enfin bref. Y avait pas mal de rumeurs sur Zeleski. Faut dire qu’elle savait faire parler d’elle, hein. (…) Il paraîtrait même que sa mère était folle à liée et que son père l’a fait enfermé. Pour ça qu’ils ont débarqué ici. Zeleski fille a eu un problème, je crois que les médecins appellent ça un déficit des hormones de croissance, un truc du genre quoi. En gros, elle est très petite. Ca n’a pas toujours été facile en cours à cause de ça. Enfin, vous connaissez l’intelligence des adolescents, j’suppose, non ? (…) Y avait une fille, Elena Di Meglia qui vivait pas loin de chez Zeleski. Elle nous racontait que son père faisait la tournée des bars tous les soirs et qu’il battait sa fille. Zeleski niait tout. Moi je crois que c’était pour attirer l’attention qu’elle faisait croire que rien n’était vrai. Tss. Une vraie garce cette fille-là. Un jour, je me suis proposé pour l’accompagné au bal de promo. Elle m’a balancé son poing dans la figure et le soir-même, O’Callaghan me menaçait. J’vous dis, y avait un truc louche entre les deux… »
─ JEFFREY HENDERSEN, ancien camarade de classe d’Alicja Zeleski (étudiant en médecine).

« Hm. Ce dossier remonte à plusieurs années maintenant, vous savez… Pourquoi tenez-vous tant à le voir ? Ha ! Le voilà, le petit malin s’était glissé entre le X et le Y. Entre un bleu qui a dû se tromper. Ah, je vous jure ! Ces nouveaux ne sont plus ce qu’ils étaient avant. Enfin… Ca date de deux mille un. Quelques jours après les tours jumelles, d’ailleurs. C’est sûrement pour ça que l’accident est passé inaperçu. Oui parce qu’il était clair, à l’époque – bien que mon opinion à ce sujet n’a guère changé aujourd’hui – qu’il s’agissait d’un accident et de rien d’autre. Les incendies criminels sont rares ici, vous savez. Et personne n’avait de raison apparente de vouloir brûler Hassan Zeleski chez lui… Je me souviendrai toujours de cette affaire. La plus courte de toute ma carrière. En une semaine elle était bouclée, ce qui n’était pas au goût de la fille du défunt. Ali… Ali… Ali quelque chose il me semble qu’elle s’appelle. Nous étions sur place bien avant qu’elle n’arrive. Elle était avec un ami, un certain O’Callawan. Ou O’Sullivan. Enfin, quelque chose dans le genre, quoi. (…) Elle a été anéantie. A peine avait-elle vu le feu qu’elle accusait son ami d’être l’incendiaire. Elle hurlait. On aurait dit une possédée. Nous avons, bien sûr, fait des recherches, mais rien de concluant. Le jeune homme n’était pas suspecté de quoique ce soit, à part être amoureux d’elle, sans aucun doute. D’ailleurs, bon nombre de leur entourage déclarait les trouver proches mais ils n’avaient jamais aucun contact physique. Ils ne se touchaient pas. Jamais d’après les témoignages. Mais cette nuit-là, après qu’elle l’ait rué de coup, il lui a tenu la main. Toute la nuit et même tout le matin. Enfin. Elle avait presque dix-huit ans mais on a quand même cherché à la placer dans une famille d’accueil. Mais son ami s’est occupé de tout. Un bon petit gars. Vraiment. Surtout qu’en cherchant dans le passé des Zeleski, on a vite vu que la gamine était pleine aux as. Son père avait toute une fortune qu’il lui léguait mais sur lequel elle n’avait aucun droit avant le jour de ses dix-huit ans. Et puis sa mère était en Pologne, malade. Alors on ne pouvait pas la renvoyer là-bas… (…) Finalement, ils ont tout simplement disparu du jour au lendemain. Je pense que son ami, le beau gosse, y est pour quelque chose. Elle, elle semblait bien trop perturbée pour prendre la moindre décision. Depuis, plus aucune nouvelle d’eux… M’enfin. C’est la vie, hein. »
─ EMILIEN A. ALBERTFORD, lieutenant de la brigade anticriminelle de Waterloo (étudiant en médecine).

« Zeleski… Zeleski… Ha ouais ! La minus, là ? Ouais, je m’en souviens assez. Enfin, je me souviens surtout de sa magnifique Honda CB350. Un vrai bijou qu’elle conduit. Elle doit être friquée parce que ce n’est pas la moto la plus accessible. Et puis avec toutes les amendes pour excès de vitesse qu’elle se prend… Enfin. Je me souviens quand elle étudiait encore la criminologie, elle venait souvent s’asseoir au Bureau. Parfois, elle restait la journée entière, comme ça. D’autres, elle venait et nous posait un millier de questions en l’espace de quelques secondes. Elle voulait passer l’examen. Alors je l’ai un peu guidé. Une fille gentille, mais un peu bizarre. Parfois, elle s’énervait toute seule. Mais je dois bien reconnaître qu’elle s’entraînait très dur. Les poches sous ses yeux étaient immenses certains jours, pour dire ! Au final, je crois qu’elle ne l’a pas eu du premier coup… C’est plutôt dommage parce qu’elle le méritait mais bon. Je ne suis pas examinateur. (…) Ses premières enquêtes ont été réussies, dans l’ensemble. On ne lui accordera sans doute pas le prix de Meilleur Agent de l’année, ni même du siècle, mais elle a de bonnes ressources. Et puis elle est pleine de surprise, ce qui est toujours un plus dans notre métier… Elle a toujours un contact. Peu importe le domaine, ce qui est bien utile, en toute honnêteté. (…) Mais… J’ai parfois l’impression qu’elle n’est pas à fond dans son travail. Enfin, c’est une façon de parler, mais… En fait, il y a eu une enquête un peu louche. Deux victimes, tuées à trois mois d’intervalle. Un mode opératoire des plus simples, aucun lien entre les victimes rien… On n’avait aucune piste. Et puis un jour, si. On s’est aperçu que le tueur nous laissait un mot pour nous avertir de son prochain méfait. On ne s’en est aperçu que le jour-même. Alicja était en infiltration à côté, alors on l’a envoyé le temps que le reste des forces spéciales se préparent. Elle a eu le droit à un face à face avec le criminel. Elle n’a jamais voulu nous dire son identité, mais elle a exigé d’être sur l’enquête. Elle a dégagé tous ceux qui tentaient de l’aider pour être la seule sur cette affaire. Pourquoi ? On n’en sait rien. Personne ne le sait. Tout ce dont je suis au courant, c’est qu’elle aurait put le boucler à plus d’une reprise mais qu’elle ne l’a pas fait… Enfin, si, l’autre jour. Mais… Pour vous dire la vérité… J’ai peur de ce qui pourrait arriver. De toute évidence, elle connait ce fameux O’Callaghan… Et lui il a l’air d’avoir plus d’un tour dans son sac… Mais, au fait… Pourquoi vouliez-vous savoir tout cela sur Zeleski ? Elle a des ennuis ? J’aimerai bien le savoir, tout de même ! »
─ MEXENCE WILBERFOCE, supérieur hiérarchique d’Alicja L. Zeleski (agent fédéral).
 


     A propos de vous :
     
Votre prénom/surnom : ghost.writer plus connue sous le pseudo de Tasha ^^
Votre Age: 18 ans (et presque toutes mes dents !)
Comment êtes-vous arrivé ici : Une petite bouille trop mignonne du nom de Lucas m'a discrètement refilé votre adresse and here I am (;
Vos impressions/remarques sur le forum :
Disponibilité en jours : (Environ) 3/7 jours. J'essaierai d'être davantage présente mais cette année, ça risque d'être chaud time pour moi ^^'
Code du règlement : lune
Votre niveau en rp : faible() bon(V) fort()


 

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